... Chez les Hurons, le frère Sagard consacre une partie de son temps à l’éducation des enfants, afin de leur apprendre « leur créance et les lettres » (Jouve, 1915, t. 1, p. 134). ...
De l'oreille au coeur
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... dès 1636, d’un séminaire destiné à l’instruction des garçons montagnais, puis, à partir de 1638, ouvert également aux garçons algonquins et hurons ; la fondation, en 1637, de la réduction de Sillery, première tentative de sédentarisation de quelques familles ...
... De Cochin, 15 janvier 1544 » (François-Xavier, Lettres, 1922, p. 36). ...
... Deux familles constituent pour lors les piliers de Sillery : celles de l’Algonquin Negabamat et du Montagnais Nenaskoumat. Dès 1638, une vingtaine d’indigènes chrétiens ou catéchumènes peuplent la réduction. En 1643, le père Barthélemy Vimont y ...
... Missions et Amérindiens, 1632-1650 dénombre de 35 à 40 familles montagnaises et algonquines réparties selon l’origine ethnique. ...
... Comme à Sillery, quelques maisonnettes françaises abritent les principales familles d’indigènes chrétiens de Nipisiguit, lesquelles, à l’instar des autres nations indigènes converties, expriment leur adhésion au christianisme par la prière et le chant ...
... les prières ordinaires sont chantées en langue vulgaire sur des chants connus des Français ; enfin, il semble qu’une étroite parenté unisse le répertoire en usage chez les Micmacs et celui en usage chez les Montagnais, comme le confirme l’auteur de la lettre ...
... Si, en 1646, les missionnaires ne manquent pas, la chrétienté huronne, par contre, ne compte plus que quelques centaines de familles réparties dans les principaux bourgs. ...
... Chez les Neutres, l’évangélisation demeure à toutes fins utiles lettre morte. S’étant déjà rendus chez la nation du Pétun en 1639, les pères Garnier et Jogues y retournent en novembre 1640. ...
... Si l’on parvient momentanément à sédentariser quelques familles algonquines à Montréal, aux Trois-Rivières et à Sillery, ...