... L’acte accordait aussi pendant vingt ans le droit exclusif de traite avec les Indiens « depuis les Blancs Sablons situés le long de ladite côte des Esquimaux jusqu’à trente lieues [environ 150 kilomètres] le long de la côte de Labrador allant au détroit ...
Domaine du roi, 1652-1859 (Le)
... BAC, MG1, C11A, vol. 89, fos 356-357v, « État des effets en provenance des Traites de Tadoussac pendant l’année 1746 et 1747 ». 42. ...
... statut particulier et le caractère public et monopolistique du droit de traite. ...
... Aussi les attaques iroquoises se multiplièrent- elles sur le territoire de la Traite de Tadoussac durant les années 1660. ...
... Le domaine royal était le secteur névralgique désigné de la traite des fourrures, ce qui pouvait expliquer l’intérêt des Iroquois et leurs nombreuses incursions dans l’axe sud-nord contre les Indiens de la Traite de Tadoussac. ...
... Cette conjoncture permettait une pénétration plus profonde dans l’hinterland et donnait une impulsion à l’ouverture des postes de traite. ...
... Pierre Dufour, « De la Traite de Tadoussac aux King’s Posts », Histoire de la Côte-Nord, Québec, IQRC-PUL, 1996, p. 197. 62. ...
... Invité par un Nipissirien de la « mer du nord » (Michel A8atanik) à aller traiter avec les peuplades de la région, le gouverneur d’Argenson délégua une expédition en 1661. ...
... Par ailleurs, la traite des fourrures devait continuer. Et s’il était devenu difficile de la poursuivre plus au sud parce que les Iroquois terrorisaient la région, le nord convenait parfaitement. ...
... Charles Aubert de La Chesnaye, détenteur du droit de traite sur le Domaine seigneurial du roi, fit de Chicoutimi, dans les années 1660, un centre de traite de plus en plus important76. ...