... Charles Lichtenthaeler, Histoire de la médecine moderne, Paris, Fayard, 1978, p. 55. ...

Du Tewaarathon à la crosse
... Gérard Saint-Claire, Les sports athlétiques, Paris, 1869, p. 16. 73. D. Delâge, Le pays renversé…, op. cit., p. 214. 74. L. Campeau, op. cit., p. 365. ...
... (Pierre) François-Xavier de Charlevoix, Histoire et description générale de la Nouvelle-France, avec le journal historique d’un voyage fait par ordre du roi dans l’Amérique septentrionale par de Charlevoix, vol. 3, Paris, Chez la veuve Ganeau, 1744, p ...
... Ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts, Manuel d’exercices gymnastiques et de jeux scolaires, Paris, Imprimerie nationale, 1891, p. 259. ...
... 122 • du tewaarathon à la crosse choix des Autochtones diffère tandis qu’ils s’intéressent surtout à ce qui a trait à la nature : À Clifton et à Belfast, par exemple, alors que l’équipe de souche européenne « s’empressait d’admirer l’imposante architecture ...
... Les Autochtones se sentaient privilégiés de pouvoir compter sur des relations particulières avec la monarchie au nom de qui les traités avaient été signés. Lors d’un discours à l’Hôtel de Ville d’Aberdeen, Big John a tenu à parler de son 76. D. E. ...
... cette fois-ci, les spectateurs étaient demeurés indifférents à ses pitreries. « La foule affichait, elle aussi, une mine apathique ; elle ne riait pas de ses étranges bouffonneries pas plus qu’elle a démontré un quelconque signe d’intérêt en ce qui a trait ...
... Le Petit Larousse illustré, dictionnaire encyclopédique, Paris, Les Éditions françaises inc., 1996, p. 1258. ...
... James Fenimore Cooper, Le dernier des Mohicans : Histoire de 1757, Paris, Presses Pocket, 1992, p. 499. 116. D. E. Bowie, Scrapbook, « Lacrosse at Bradford », p. 29. ...
... Ils imaginaient également leur visage reflétant la férocité et l’animosité, portant peintures de guerre, avec des traits très différents des leurs, des pommettes saillantes et des nez arqués. ...