... Il aimait les belles-lettres, moyen incontournable de devenir universel. Peut-être devrait-il revoir son choix d’une tête bien pleine plutôt que d’une tête bien faite ? Il portait des vêtements sombres, pratiques, confortables. ...
Entre poudrés et pouilleux
... Il déplora le discrédit des lettres et des livres. Il subit les mesquineries d’un train de vie savant qui, par un labeur obscur, amassait une science dont on ne concevait pas l’utilité et qui encombrait la mémoire. ...
... Cette famille, honorablement connue et l’une des cinq ou six plus actives dans la profession, avait alors connu de sérieux déboires. ...
... En l’absence de ses parents pour lui choisir un conjoint, relativement pauvre et donc sans dot alléchante, enveloppée dans le mystère qui entourait sa famille, son horizon matrimonial s’était rétréci comme peau de chagrin. ...
... De sa situation de famille, de sa solitude et de sa crainte de désœuvrement, il ne dit mot. Au moment du départ, il lui serra la main en résistant à l’envie de la garder plus longtemps que la bienséance le permettait. ...
... Qui voudrait d’une pauvre fille sans biens et, pour ainsi dire, sans famille ? Ce Cornutti, médecin sans fortune et auteur sans lecteur, était-il respectable ? Pouvait-il lui offrir un avenir conve112 ...
... Ils devenaient alors des membres à part entière de la nouvelle famille. Les autres prisonniers, eux, étaient livrés à la torture, qu’ils subissaient sans aucune plainte. Renversant ! ...
... Personnellement, il n’avait plus de relations avec eux depuis les déboires qu’avait connus la famille avec les livres d’alchimie. 136 ...
... Elle se plongea dans les papiers de famille. Contrats de mariage, dotations, constitutions de rentes, actes notariés divers ne révélèrent rien de neuf. ...
... Par un dimanche chaud et ensoleillé, une jeune femme, dont les vêtements traduisaient l’appartenance à une bonne famille, eut un malaise devant sa porte. Elle s’évanouit dans la rue. Les passants s’attroupèrent. ...