... Pour les fusiliers marins qui ont pris la suite de ces deux divisions de l’Armée de terre le 24 mars 2004, l’échec successif des deux approches a essentiellement résidé dans l’absence d’une présence irakienne sur le terrain. ...
Erreur (L')
... Les bombes artisanales (les Improvised Explosive Devices, les IEDs) sont ainsi à l’origine de la majorité des pertes américaines de décembre 2003 à mars 2004, et de façon continue depuis février 200563. ...
... Dès lors, il convient de reconnaître que, même si les difficultés sont évidentes cinq ans après l’invasion de l’Irak, nous manquons encore de recul historique pour qualifier de défaite ou de victoire sur le plan militaire l’entreprise lancée le 19 mars ...
... Depuis le début de l’opération en mars 2003, le coût annuel n’a cessé d’augmenter : il est ainsi passé de 93 milliards de dollars par an de 2003 à 2005, à 120 milliards en 2006, puis à 171 en 2007 et devrait atteindre 193 milliards en 2008. ...
... De mars 2004 à février 2005, les bombes artisanales demeurent très meurtrières. Elles ne sont cependant pas, au cours de chacun des mois de cette période, la cause première de décès des soldats américains. ...
... III L’ERREUR INSTITUTIONNALISÉE Karine Prémont et Élisabeth Vallet L a série d’erreurs politiques qui a mené les États-Unis à intervenir en Irak en mars 2003 ne peut s’expliquer seule. ...
... 172 L’ E R R EU R Le nombre de journalistes intégrés aux unités militaires américaines En mars 2003, près de 800 journalistes et photographes — dont 600 provenant de médias américains — ont été intégrés à des unités militaires de l’armée américaine ...
... Peu de temps après, en mai 2004, le réseau ABC a diffusé dans l’émission Nightline les photos des 721 soldats américains morts depuis mars 2004 en Irak. ...
... Figure 6 Les fluctuations du pourcentage de la population américaine appuyant la guerre depuis 2003 72% Début de la guerre (mars 2003) 61% Renversement du régime (avril 2003) Capture de Hussein (décembre 2003) 67% 57% Falloudja (avril 2004) 53% ...
... Katrina a rapidement incarné l’incompétence de l’administration Bush à évaluer une crise, à organiser des secours et à agir rapidement pour en minimiser les conséquences. ...