... Guy Chevrette, lettre-circulaire aux maires, 18 janvier 1996. 5. Union des municipalités du Québec, Questionnaire de l’UMQ sur les orientations des partis politiques, 23 août 1994, p 8. 6. Le Devoir, 27 janvier 1996. ...
Folie des grandeurs (La)
... Après plusieurs rencontres, échanges de lettres et avis juridiques positifs, nous n’allions nulle part. M. Ménard s’obstinait à rejeter la nomination de M. Ryan, allant jusqu’à dire qu’il aurait plutôt approuvé ma candidature. ...
... Sa correspondance personnelle s’élevait à 38 000 lettres ; et son ministère devait composer chaque année avec 480 000 documents de toute nature, incluant 240 000 certificats de validité autorisant les municipalités à emprunter de l’argent1. ...
... que le regroupement de certaines municipalités procurerait, pour leurs citoyens, des bénéfices indéniables1. » En tant que président de la Conférence des maires de banlieue de l’île de Montréal et de membre du conseil de l’UMQ, j’ai répliqué par une lettre ...
... Cet affrontement soulevait, en matière de gouvernance publique, des questions fascinantes que j’ai présentées dans une lettre à mes collègues : « En sommes-nous rendus au point de bâillonner les élus qui, pour éviter de bouleverser les petites coutumes ...
... Quelques jours plus tard, certains d’entre eux ont lu ma lettre d’opinion dans The Gazette : Jetant de l’huile sur le feu fusionniste, il y a ce groupe itinérant qui essaie de vendre son remède aux maux de notre pays : les unity resolutions que l’on veut ...
... Avant les années 1960, la plupart des familles n’auraient pas acheté une maison qui n’était pas à distance de marche d’une école. ...
... C’est en grande partie grâce à eux que Westmount a pu distribuer à deux occasions une lettre de ma part à chaque domicile. Une telle chose aurait été impensable à Montréal. ...
... Elle travaillait fort, elle aimait son boulot et elle faisait de son mieux pour que les employés de la CUM se sentent comme dans une grande famille. ...
... chicanes où la banlieue s’opposait systématiquement à Montréal. » Le maire Tremblay et Benoit Labonté (président de la Chambre de commerce de Montréal à l’époque) ont tous deux parlé de la « paralysie » qui accompagne « un système à double majorité » (lettres ...