... Le Sauvage se loua du traitement que je lui avais fait en France et des singularités qu’il avait vues, dont ils entrèrent tous en admiration, et ils s’en allèrent cabaner dans le bois assez légèrement, en attendant le lendemain que je leur montrasse ...
Fondations de l'Acadie et de Québec (Les)
... vint habillé à la sauvage, qui se loua du bon traitement des Sauvages, selon leur pays, et me fit entendre tout ce qu’il avait vu en son hivernement et ce qu’il avait appris desdits Sauvages. ...
... Le lendemain, après avoir traité tout ce qu’ils avaient, qui était peu de chose, ils firent une barricade autour de leur logement du côté du améliorer l’approvisionnement en fourrures. ...
... Le matin venu, ils achevèrent de traiter ce peu qu’il leur restait et puis s’embarquèrent en leurs canots, nous priant de ne pas toucher à leurs logements pour les défaire, ce que nous leur promîmes, et ils se séparèrent les uns des autres, feignant d ...
... commandait en une patache, qui les avait priés d’emmener un jeune garçon, ce qu’ils ne lui avaient pas voulu accorder avant qu’ils n’eussent su de moi si j’en étais content, ne sachant pas si nous étions amis, d’autant qu’il était venu en ma compagnie traiter ...
... Avant de traiter, ils firent un présent à un Sauvage montagnais, qui était fils d’Anadabijou récemment décédé, pour l’apaiser et le défâcher de la mort de sondit père. Peu de temps après, . ...
... Après qu’ils eurent traité tout le peu qu’ils avaient, ils se séparèrent en trois, les uns pour la guerre, les autres par ledit Grand Saut et les autres par une petite rivière qui va se rendre en celle dudit Grand Saut, et ils partirent le dix-huitième ...
... Cette chute me retarda beaucoup, mais aussitôt que je me trouvai en assez bonne disposition, je me mis en chemin, pour parfaire mon voyage et aller trouver ledit sieur de Mons à Fontainebleau, lequel étant retourné à Paris parla à ses associés, qui ne ...
... Les Malouins ont toujours été des ennemis résolus du monopole de la traite des fourrures. ...
... Ils entendent parler des riches mines d’Acadie (août). Henri IV nomme Pierre Dugua de Mons lieutenant général en Acadie ( novembre) et lui cède le monopole de la traite des fourrures ( décembre). ...