Franco-Américains de la Nouvelle-Angleterre (Les)

Franco-Américains de la Nouvelle-Angleterre (Les)

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... Même à Sainte-Marie de Manchester qui fut si longtemps un « château-fort par excellence de la vie française en Nouvelle-Angleterre ». Roland Girard, « Je butine un peu partout », Le Travailleur, 21 juin 1962, p. 1. 44. ...

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... Une après l’autre, l’académie Jésus-Marie de Woonsocket, l’académie Sainte-Chrétienne de Salem, l’académie SainteAnne de Malboro, l’académie de la Présentation de Hudson et l’école préparatoire de l’Assomption ferment leurs portes ou changent de vocation ...

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... Comment les militants de la survivance s’adaptent au changement Après l’appel de Thomas-Marie Landry en 1955, deux sentiments diamétralement opposés animent les militants de la survivance : l’angoisse 51. ...

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... D’Amours, cité dans Philippe-Armand Lajoie, « Çà et là », L’Indépendant, 12 mars 1954, p. 1, 4. ...

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... Roland Girard, « Je butine un peu partout », Le Travailleur, 26 mars 1967, p. 5. 93. Wilfrid Beaulieu, « Quelques réflexions hâtives », Le Travailleur, 13 janvier 1966, p. 1. ...

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... Thomas-Marie Landry, « Et la vie continue… », Vie française, 19, 5-6, janvierfévrier 1965, p. 30. Landry est alors président du Conseil de la vie française. 102. ...

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... Pour des propos analogues, voir Gabriel Crevier, « Nos chemins d’avenir », Vie française, 20, 7-8 mars-avril 1966, p. 236-237. 121. Claire Quintal, loc. cit., note 9, p. 379, note 83. 122. ...

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... Roland Girard, « Je butine un peu partout », Le Travailleur, 31 mars 1966, p. 1. 130. Roland Girard, « Je butine un peu partout », Le Travailleur, 29 juillet 1965, p. 1. ...

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... C’est encore une fois Thomas-Marie Landry qui montre la voie. Contrairement à 1949, à 1952 et à 1955, il propose cette fois un changement radical. ...

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... Thomas-Marie Landry, « La crise de l’enseignement du français dans nos écoles paroissiales », Le Travailleur, 4 novembre 1965, p. 1. ...