Franco-Américains de la Nouvelle-Angleterre (Les)

Franco-Américains de la Nouvelle-Angleterre (Les)

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... Hickey, à la demande de la Sacrée Congrégation du concile, prévient Daignault que s’ils restent, lui et ses amis, un an sous le coup de l’excommunication, c’està-dire jusqu’au 17 mai 1929, sans solliciter l’absolution, ils seront suspectés d’hérésie et traités ...

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... Faute de numéraire, de nombreux cultivateurs ne parviennent qu’à grand-peine à payer les traites signées pour l’achat d’instruments aratoires ou de divers produits. ...

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... Ils prennent de plus en plus conscience des limites que leur impose une connaissance imparfaite de l’anglais et le traitement de deuxième classe que leur vaut parfois le titre de FrancoAméricain. ...

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... Certains militants rêvent enfin à la mise sur pied d’un organisme central qui servirait de trait d’union et faciliterait la coopération entre les diverses sociétés nationales créées par les Franco-Américains, les Acadiens, les Canadiens français de l’ ...

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... En ce qui concerne les rapports des élites franco-américaines avec la France, voir François Weil, Les Franco-Américains, Paris, Belin, 1989, p. 175. 228. Tous appartiennent à la même famille. ...

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... Certes, ces derniers sont unanimes à voir dans le réseau institutionnel mis en place par les premières générations d’émigrés le seul rempart capable de sauvegarder les traits distinctifs de leur nationalité. Mais là s’arrête l’unanimité. ...

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... Ses initiatives furent si nombreuses, son programme si complexe, qu’il n’est pas facile d’en présenter les traits essentiels de façon claire et ordonnée. ...

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... « Entre le français que nous parlons et celui que l’on parle à Paris, il y a tout au plus la différence d’accent qui existe, par exemple, entre l’anglais que l’on parle à Boston et celui que l’on parle à Londres ». « Au pays des vieilles lunes », L’Indépendant ...

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... Le curé Adélard Jalbert de Saint-Antoine de Bridgeport, qui a décrété qu’il n’y aurait qu’une heure de français par jour à l’école paroissiale, est traité de « chien couchant d’anglicisateur cent pour cent ». ...

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... C’est ce trésor spirituel formé de notre foi, de notre langue, de nos traditions, de notre culture, en un mot, de notre idéal catholique et français, que nous voulons conserver160. » Abandonner l’un ou l’autre de ces traits caractéristiques serait cesser ...