Ce livre a fait parler de lui :

• « Un livre d'ethnohistoire essentiel. »

  Paul Laverdure, Les Cahiers de lecture de L’Action nationale

• « Une contribution fort stimulante à l'histoire autochtone au Québec. [...] Grâce au travail de recherche minutieux qu'Inksetter présente dans cette monographie d'un grand intérêt, nous disposons non seulement d'un meilleur portrait des impacts positifs de certains échanges culturels et adaptations chez les Algonquins de l'Abitibi et du Témiscamingue durant le XIXe siècle, mais aussi des transformations engendrées sur la structure même de l'organisation sociale et du pouvoir politique. Nous ne saurions donc trop recommander la lecture de cet ouvrage appelé à devenir une référence en histoire autochtone au Québec. »

  Mathieu Arsenault, Recherches amérindiennes au Québec

• « Grâce à [sa] clarté et à la grande qualité de ses analyses, Inksetter nous livre une contribution majeure qui deviendra incontournable pour les chercheurs s’intéressant à l’histoire des Algonquins, des peuples autochtones du subarctique ou de l’Abitibi-Témiscamingue. »

  Brian Gettler, Revue d’histoire de l’Amérique française

• « L’approche méthodologique de cette étude est ethnohistorique et solidement étayée par des documents d’archives [...] Il s’agit d’une mise en dialogue réussie des disciplines historique et anthropologique [...] cet ouvrage est le résultat d’un travail colossal de consultation et d’analyse d’un grand corpus de documents d’archives, parfois de déchiffrage (entre autres, dans le cas des microfilms de la Compagnie de la Baie d’Hudson). Cet aspect est surtout à noter relativement au style d’écriture, qui reste très fluide, limpide et accessible à tout lecteur, avec spécifications et références reliées aux sources d’archives et autres informations en notes de bas de page parfois très détaillées.»

  Şükran Tipi, Anthropologie et Sociétés

• « Nous recommandons vivement cet ouvrage à toute personne s’intéressant de près ou de loin aux études autochtones – surtout aux algonquinistes – comme aux chercheurs ou étudiants s’intéressant aux mécanismes de conversion, aux dynamiques des changements sociaux, économiques et politiques, ainsi qu’aux curieux qui voudraient simplement s’initier à l’histoire des Algonquins. »

  Arnaud Simard-Émond, AnthropoCité

• « Facile d’approche, l’ouvrage se décline en quatre chapitres chronologiques et thématiques. […] L’ouvrage constitue une réelle contribution à l’historiographie et représente une belle porte d’entrée pour le public qui voudrait s’initier aux études autochtones du XIXe siècle. »

  Caroline Desruisseaux, Études d'histoire religieuse