... Ces personnes travaillaient au poste de traite ou alors vivaient comme chasseurs avec leur famille algonquine. Les personnes qui travaillaient au poste de traite semblent avoir détenu un avantage matrimonial sur les autres hommes. ...
Initiatives et adaptations algonquines au XIXe siècle
... Les emplois au poste de traite étaient occupés, comme avant, par une combinaison de personnes externes, engagées depuis la colonie canadienne ou depuis l’Écosse et de personnes locales. ...
... Je me suis donc limitée aux estimations qui identifiaient des « Indiens » associés de près à un poste de traite ou à une mission. Ces personnes pouvaient inclure bien entendu des personnes ayant un héritage biologique mixte. ...
... Tout calcul démographique pour le xixe siècle doit donc tenir compte de la multiplication des postes de traite à l’intérieur de ce territoire. ...
... En effet, bien que les Sœurs grises aient ouvert un hôpital dès leur arrivée au lac Témiscamingue, en 1866, les traitements se 161. ...
... Les Algonquins du lac Abitibi ont été vaccinés par le médecin accompagnant les commissaires responsables du Traité no 9, en 1905169. ...
... À partir des années 1840, les missionnaires qui parcouraient l’Outaouais méridionale notaient les difficultés que rencontraient les Algonquins à échanger des fourrures aux postes de traite, puisque le castor commençait à s’y faire rare. ...
... Devant une baisse de leur apport alimentaire principal, les chasseurs avaient dû se rabattre vers une intensification du piégeage afin de s’acheter une part importante de leur nourriture au poste de traite. ...
... Sans doute leur mode de vie, associé de plus près au poste de traite, les empêchait-il de consacrer beaucoup de temps à la chasse. ...
... Au cours du xixe siècle, le poste de traite est devenu un lieu de rassemblement important pour les Algonquins des environs. Ceux-ci installaient alors leurs tentes autours du poste. ...