Initiatives et adaptations algonquines au XIXe siècle

Initiatives et adaptations algonquines au XIXe siècle

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... C’est l’existence de ce fonds qui a conditionné certaines dépenses et certains traitements du gouvernement envers les Algonquins qui étaient attachés au secteur géographique où se trouvait la réserve. ...

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... Ce chapitre traite donc de la démographie des Algonquins au début du siècle, de leur alimentation, de leur état de santé général, de leur organisation sociale, de leur mode d’occupation territoriale et de leur culture matérielle. ...

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... En effet, après avoir pris le contrôle des postes de traite du secteur, la Compagnie de la Baie d’Hudson a mis en place ses structures administratives. ...

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... Pour effectuer un calcul de densité démographique, il a donc fallu préciser les limites en les établissant à mi-chemin entre les postes de traite nommés. ...

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... En plus de chasser eux-mêmes, les employés de postes de traite achetaient 15.  HBCA, B.218/e/1, fo. 1v. 16.  ...

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... Enfin, on observe une seule référence au fait qu’en 1828, un employé du poste de traite grattait une peau de « deer » (probablement caribou) pour en faire de la babiche21. ...

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... Les Algonquins fournissaient aussi le poste de traite du lac Témiscamingue, qui le revendait ensuite dans le district32. ...

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... On note ainsi l’arrivée occasionnelle de personnes qui se présentaient au poste de traite en se plaignant de la faim, au tournant du xixe siècle36. Ces famines passagères semblaient localisées. ...

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... Par ailleurs, des cadeaux de nourriture étaient donnés aux familles algonquines lors de leur arrivée au poste de traite, bien que la nature des cadeaux et la quantité fournie ne soient pas décrites53. ...

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... Pendant l’épisode de famine de 1823-1827, des femmes et des enfants qui s’étaient réfugiés auprès du poste de traite du lac Témiscamingue ont alors souffert d’un « rhume or coqueluche58 ». ...