... en partie fabriqués par les Algonquins à partir de matériaux achetés au poste de traite. ...
Initiatives et adaptations algonquines au XIXe siècle
... cette date étant plutôt faits en écorce ou encore achetés tels quels au poste de traite (chaudrons de métal). ...
... Il semble donc probable que les Algonquins aient utilisé une combinaison de moyens au début du xixe siècle pour coudre et lacer, incluant des sources disponibles dans l’environnement immédiat et des sources achetées au poste de traite. ...
... ROY, « Un témoin du commerce des fourrures au xviiie siècle en Abitibi : le poste de traite de “Pano” », loc. cit., p. 24. 248. HBCA, B.218/d/1, fo. 10v, 26v, 28, 29v. ...
... ., p. 54 ; ROY, « Un témoin du commerce des fourrures au xviiie siècle en Abitibi : le poste de traite de « Pano » », loc. cit., p. 32 ; PARADIS, « Lettre d’un missionnaire », loc. cit. 252. ...
... Lorsque des déplacements d’Algonquins sont répertoriés par les maîtres de poste, c’est un marqueur géographique qui est utilisé (un toponyme ou bien souvent un poste de traite). ...
... Une citation unique et passagère dans le journal de John McLean, un homme qui a occupé différentes fonctions dans plusieurs postes de traite à travers l’Amérique du Nord entre 1821 et 1846, laisse ouverte la possibilité que les Algonquins aient participé ...
... Ces leaders étaient connus comme des « captains » [capitaines de traite] par la Compagnie de la Baie d’Hudson et des « chiefs » par la North West Company. ...
... En effet, l’amorce d’un rassemblement estival au poste de traite s’est effectuée en relation directe avec l’attente des convois de transport. Les femmes et les enfants des voyageurs vivaient alors à proximité du poste de traite. ...
... Le terme se retrouve rattaché au poste de traite dès cette époque10 et est encore en usage aujourd’hui. Ce poste est ensuite passé aux mains d’associations de marchands montréalais anglophones, dont Dobie et Grant. ...