... Les objets personnels des familles moyennement fortunées ont généralement peu de valeur, mais tel n’est pas toujours le cas des vêtements. ...
Jardins et jardiniers laurentiens, 1660-1800
... Mathieu nous offre ici un autre portrait de famille comme les Le Nain en ont peints plusieurs, mais avec cette particularité que le jardinier offre à sa patronne une fleur sous le regard ébahi des enfants et de la servante. ...
... Il s’agissait bien souvent de leur principal gagne-pain qui leur permettait également d’obtenir à bon prix légumes et petits fruits pour leur famille. ...
... La présence d’argent liquide, d’objets en or et en argent et de créances s’élevant 1 500 livres, en plus des biens fonciers, indique bien que le niveau de vie de la famille Vervais se compare avantageusement à celui de nombreux petits commerçants. ...
... ., p. 345 ; Emmanuelle Roy, Les familles de tisserands de la plaine de Montréal au XVIIIe siècle : étude socioprofessionnelle, Mémoire (M.A.), Université de Montréal, 1997, 159 p. ; Robert Lamonde, Les boulangers à Montréal, de la fondation à 1750. ...
... Parmi les notables employeurs figurent le seigneur de Beauport, Antoine Juchereau, qui fait valoir son jardin à la fois pour sa famille et pour le commerce. ...
... À l’intérieur des murs, il n’y aurait qu’une trentaine de familles possédant plus d’une propriété, ce qui équivaut à environ 5 % des ménages. ...
... La famille du baron de Longueuil possède plusieurs propriétés, héritées du premier et deuxième baron, Charles Le Moyne père et fils. ...
... Les premières familles à s’y établir ont presque toutes des jardins potagers près de leur habitation et aucun propriétaire ne possède plus d’un terrain. ...
... Il s’agit de René Coiteux, de Joseph Montigny et de la famille Picoté de Belestre, fort probablement celle de FrançoisMarie, officier dans les troupes de la Marine, membre du conseil législatif et grand voyer11. ...