... D’ailleurs, certaines familles pouvaient en consommer jusqu’à 400 dans une seule année39. ...
Jardins et jardiniers laurentiens, 1660-1800
... Mais le potager est pour la famille bien plus qu’un simple apport pécuniaire. Pour la majorité, il est sans doute une nécessité ; pour d’autres, il peut représenter un revenu d’appoint. ...
... Ce dernier peut en conserver une partie pour sa famille, le reste étant généralement destiné à la vente dont les bénéfices tiennent souvent lieu de salaire. ...
... 252 jardins et jardiniers laurentiens qu’elle veut obtenir de son jardinier, en 1756, la famille de Madame de Niverville compte quatre enfants vivants de moins de 15 ans. ...
... Il s’agit du journal de l’imprimeur libraire John Neilson dont les dépenses ont fait l’objet d’un décompte en 1800. Sa famille se compose de son épouse et peut-être d’un domestique ; il n’a pas encore d’enfant. ...
... Les comptes vont jusqu’en 1803, mais après 1781, les entrées sont trop parcellaires pour en tirer des moyennes significatives. 61. ...
... Toutefois, même si on n’a pas accès au budget d’une famille moyenne du XVIIIe siècle, on peut affirmer que l’apport du jardin dans le budget de l’alimentation d’une famille compte certainement pour beaucoup, surtout en regard des salaires des ouvriers ...
... Anonyme. « La famille Jékimbert ou Kimber », BRH, vol. XXI, juillet 1915. Anonyme. L’Hôtel-Dieu, premier hôpital de Montréal, 1642-1763, Montréal, Thérien Frères, 1942, 420 p. Arseneault, C., et D. ...
... Histoire de la ville de Québec, 1608-1871, Montréal et Ottawa, Boréal et Musée canadien des civilisations, 1987, 400 p. Harel, J. ...
... Les fils de famille et les faux-sauniers en Nouvelle-France, 1723-1749, Québec, Septentrion, 2008, 211 p. Proulx, Gilles. ...