... de cette famille. ...
Jean Mauvide. De chirurgien à seigneur de l’île d’Orléans au XVIIIe siècle
... 28 • jean mauvide selon l’aveu et dénombrement de 1725, qu’une terre de deux arpents de front, sur laquelle un maigre vingt arpents de terre labourable suffit à peine à nourrir une famille normale. ...
... Cette relation est au contraire empreinte d’extraordinaire, d’enjeux cruciaux, car le chirurgien pénètre dans l’intimité des personnes et des familles au moment où elles côtoient les frontières de la mort, du handicap, de la douleur. ...
... Il est donc clair que les soins prodigués par Jean Mauvide à la famille de Gervais Pépin dit Lachance, au début des années 1730, recoupent très exactement le réseau familial et commercial qu’il est en train de tisser parmi l’élite des habitants de la ...
... Jean Bilodeau avait quitté sa famille, son foyer, son milieu de vie. ...
... remèdes-maison et aux personnes douées de certains talents de guérisseur que l’on connaissait, ou qui avaient bonne réputation dans l’entourage, ainsi qu’aux différentes formes d’intercessions auprès de Dieu, des saints ou de membres décédés de sa propre famille ...
... Yves Phlem avait déjà pratiqué sur l’île et il y avait, notamment, obtenu la guérison d’un chancre chez une jeune femme de la famille Labbé, résidant à Saint-François. ...
... le travail du chirurgien jean mauvide à l’île d’orléans • 39 moindre signe d’encouragement de la part de sa femme ou de sa famille. Un mois plus tard, un voisin et cousin de Jean Bilodeau se présente à SainteAnne muni d’une procuration de la veuve. ...
... répandue à d’autres familles de l’île d’Orléans, puisque notre recherche retrace quelques autres charpentiers de navires à l’île d’Orléans, entre 1700 et 1750, parmi les familles Feuilleteau, Pépin dit Lachance, Gaulin, Fortier et Fontaine. ...
... C’est en ce sens que la complémentarité des familles les plus entreprenantes et les plus prospères de Saint-Jean ressort clairement : les unes produisent des surplus agricoles, d’autres construisent des navires, d’autres encore les font naviguer, certaines ...