Lettres de femmes au XIXe siècle

Lettres de femmes au XIXe siècle

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... , comme le fait Marie Glackmeyer (lettre 29). ...

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... Au xixe siècle, les femmes célibataires ne causent pas de problèmes d’identification ; mais les femmes mariées, qui prennent la plupart du temps le nom de leur mari, signent leurs lettres avec ce nom ; les sœurs d’une communauté religieuse abandonnent ...

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... Cerré à sa sœur Marie-Anne (lettre 1). ...

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... La famille reposant sur le mariage, l’occasion de cette cérémonie est abondamment utilisée dans les lettres de femmes, elles écrivent soit pour apprendre qu’une telle s’est mariée, soit pour annoncer qu’elle ne pourra pas aller à la cérémonie. ...

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... On trouve ces femmes d’affaires au sein des grandes familles : Charlotte-Marguerite et Marie-Anne de Lanaudière seront de vraies femmes d’affaires, ainsi que Suzanne-Antoinette Margane de Lavaltrie. ...

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... Malgré ses prétentions à l’humilité, Marie-Anne de Lanaudière est une très habile femme d’affaires : en font foi les quelques lettres de sa main conservées dans le fonds Baby de l’Université de Montréal, que nous reproduisons ici. ...

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... On est en mars. Son prétexte : elle s’apprête à se marier (lettre 94). La politique Vue par les femmes, la politique est très différente de celle qui est vécue au quotidien par les hommes, dans l’arène parlementaire. ...

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... L’appel de Marie-Louise Dandurand, veuve Duquet, est encore plus pathétique. Elle écrit au même bloc de glace qui a nom Colborne et qui continue à répandre la terreur dans les campagnes et à dresser la potence au Pied-du-Courant. ...

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... Et, inconsolable, la pauvre Marie-Thérèse Cerré admet que son fils, maintenant âgé de 14 ans, « finit par être un ingrat ». ...

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... De Verchères, Marie-Anne-Julie Rocbert de Lamorandière attend son cousin Bailly venu de France et qui est encore à Montréal. ...