Marie-Anne

Marie-Anne

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... Les survivants accueillirent leurs alliés ojibwés dans le territoire des castors. À cette époque, les trois tribus possédaient des chevaux et ...

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... à peine installé en face du camp que tout le fort était en effervescence, pleurant, criant, hurlant et déplorant la mort de leurs parents. 26 novembre 1803 : un Indien est arrivé de l’amont, l’un des Scieux qui a tué trois Sauteux qui trappaient le castor ...

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... En janvier 1805, Alexander Henry raconte un « pays presque dénué de castors et autres animaux à fourrure ». ...

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... Elle était située à proximité des trois tribus d’Indiens qui échangeaient régulièrement de la viande d’orignal, des poissons, des oies et des fourrures contre des articles européens. ...

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... C’était aussi un point de rendez-vous : les Cris des bois et les Ojibwés y laissaient leurs familles pendant qu’ils allaient trapper le castor, ramasser des écorces pour les canots ou qu’ils se rendaient à York Factory12. ...

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... Mais les castors et autres animaux à fourrures disparurent rapidement au voisinage immédiat des postes. ...

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... Les loutres et les castors avaient la réputation d’être si nombreux à cet endroit que « les femmes et les enfants les tuaient avec des bâtons et des hachettes7 ». ...

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... Il y avait aussi du poisson, mais les employés de la compagnie, presque tous Anglais, n’en faisaient pas leurs délices. Il fallait nourrir quarante personnes trois fois par jour. ...

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... Le peuple déné, qui parlait l’athapascan, s’était mué en un très court laps de temps de trappeurs de castors dans les boisés du Nord en chasseurs de bisons des Prairies. ...

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... 146 m a r i e-a n n e pour la chasse au castor à la rivière Fighting (rivière Battle) qui marquait la limite entre les territoires des Cris et des Pieds-Noirs. ...