Mayn Lebns Rayze. Un demi-siècle de vie yiddish à Montréal

Mayn Lebns Rayze. Un demi-siècle de vie yiddish à Montréal

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... Ce à quoi je répondis : — Est-ce que cela vous plairait davantage que j’affirme que le consulat accable les réfugiés en les empêchant d’aller à la rencontre de leur famille ? ...

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... Puis il me remit les deux lettres. Naturellement je le remerciai avec sincérité. Comme je l’ai mentionné plus haut, même si je ne fis pas la connaissance des deux ministres en question, les recommandations ne manquèrent pas de m’être fort utiles. ...

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... Je pris alors les deux lettres de recommandation qui se trouvaient justement dans ma poche, et les lui montrai pour que notre homme comprenne bien que le consul était mon ami. ...

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... reconnu à travers une des fenêtres de l’édifice administratif. « Certes, dit-il, j’ai quelqu’influence dans la place et je n’ai fait que mentionner que l’on ne devait pas vous harceler. » Ce fut là le premier service que devaient me rendre les deux lettres ...

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... N’avions nous pas vécu tous ensemble, une famille de six personnes, dans une maison de deux pièces et dont un coin en plus était loué à trois étrangers ? ...

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... À Hébron, à l’Hôtel Eshel Avraham, afin qu’il nous fasse découvrir la ville, nous avons pris avec nous un jeune garçon qui appartenait à la famille Shneurson, s’appelait Avromele et n’avait que douze ans. ...

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... Je demande alors : « Combien de personnes y a-t-il dans votre famille ? » « Seulement mon mari et une petite fille, qui joue sur ce petit toit qui est aussi ma cuisine. » « Et que fait votre mari ? ...

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... J’ai alors été son invité pour une journée et j’ai pu constater à quel point cette famille était un modèle à suivre pour les Juifs égyptiens. 21. ...

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... Lazarus Phillips avait hérité de sa famille un intérêt pour tout ce qui touchait les Talmud tora unis, et il ne restait plus qu’à l’amener à accepter cette responsabilité. ...

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... Je reçus quelques temps plus tard de ce même officier une lettre m’exprimant à nouveau sa gratitude. Il m’annonçait de plus qu’il était maintenant satisfait du comportement des soldats au sein de son unité et qu’il en avait décoré plus d’un. ...