Mémorial de Canadiens français aux USA

Mémorial de Canadiens français aux USA

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... Lorsque celui-ci perdit le privilège de la traite des pelleteries rattaché à sa mission de découvrir la mer de l’Ouest, c’est son gendre qui le récupéra. ...

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... On lui attribue un ouvrage signé A Fur Trader, publié à Londres un an plus tôt sous le titre de Traits of AmericanIndian Life and Character. Williams, Glyndwr, DBC, VIII : 732736. OLIVER, Roland. ...

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... C’était en vertu de l’article 4 du traité, daté du 29 juillet 1829. Cette concession, désignée comme la Ouilmette Reservation, allait être lotie et traversée par une ligne ferroviaire, ce qui lui donna une grande valeur. ...

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... Par le traité de Paris de 1783, le portage se trouva en territoire américain. ...

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... On le considéra dès lors en haut lieu comme une autorité en tout ce qui avait trait aux pays de l’Ouest. ...

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... 184 Mémorial de Canadiens français aux USA s’employaient à la traite des fourrures et n’y effectuaient que de courts séjours. En 1748, on y comptait quelque 400 habitants. ...

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... À l’âge de 16 ans, Pelletier remporte le Prix d’Europe décerné par le Québec et va poursuivre ses études à Paris. ...

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... Lorsque la guerre de l’Indépendance des États-Unis éclate, la Nouvelle-France n’est devenue colonie britannique que depuis douze ans avec la signature du traité de Paris. Nombreux sont ceux qui espèrent une reconquête par la France. ...

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... Né à TroisRivières en 1761, fils du négociant Jean-Baptiste Perrault et de Marie Lemaître, il fit ses études au Petit séminaire de Québec avant de partir, à l’âge de 23 ans, pour le pays des Illinois afin de s’y adonner à la traite des fourrures, qu’il ...

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... Après un séjour à Paris où il rédigea un mémoire sur la Louisiane, il rentra en Nouvelle-France avec le grade de lieutenant, puis commanda sa propre compagnie à l’île Dauphine (Dauphin Island, Alabama). ...