... un laboratoire en guerre • 53 Le pari d’Halban est donc réussi de ce côté-là. Un de ses hommes intègre une équipe rivale. ...
Montréal et la bombe
... C’est ainsi qu’Halban rencontre Aline de Gunzburg, une jeune veuve très fortunée (sa famille possédait, entre autres, le Ritz à Paris et des raffineries de pétrole en Europe). ...
... En 1938, il reçoit une bourse du gouvernement du Québec pour aller étudier à Paris. ...
... Après la guerre, Pierre Demers est engagé comme professeur de physique à l’Université de Montréal en même temps qu’il termine son doctorat en physique à Paris. Dans son jury de thèse, on retrouve Pierre Auger. ...
... Ce n’est pas tant les sujets eux-mêmes que la manière dont il les a traités qui est originale. ...
... Bertrand Goldschmidt, qui a connu Kowarski avant la guerre à Paris, au laboratoire de Joliot-Curie, est impressionné par la nouvelle prestance du physicien : « Il n’avait plus rien de commun avec l’ours mal léché, bourru et distant que j’avais connu… ...
... Quand on y pense, le ZEEP est en quelque sorte un format géant des barils d’eau lourde qu’Halban et Kowarski avaient transportés de Paris à Bordeaux, Cambridge et finalement Montréal ! ...
... une nouvelle ère pour le laboratoire • 99 Irène Joliot-Curie posta cette carte de Paris le 10 juin 1945 à son ami Hans Halban à Montréal pour lui demander, entre autres, d’envoyer de nouvelles balles de tennis ! Photo de Philippe Halban. ...
... Cette fameuse rencontre à Paris en décembre 1944 n’est pas un succès à en croire le journal personnel de Hans Halban. ...
... Deux éléments aux potentielles applications militaires, soit le polonium et le plutonium, sont directement traités à Montréal. ...