Opération urnes

Opération urnes

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... Ni à sa famille ni à ses amis. Il n’en a parlé qu’à son patron, indépendantiste comme lui, qui a accepté de le libérer de son travail les jours où il avait des tâches à exécuter. ...

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... L’autre lui a répondu : — Je ne sais pas, c’est une nouvelle famille qui vient d’arriver au village. ...

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... Il en a à peine parlé à sa famille : il a expliqué à son père que les contrôles judiciaires se resserraient. Il lui a donné le numéro de téléphone d’une personne à contacter s’il devait être arrêté. ...

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... Ton qui n’avait pas informé sa famille a brisé le silence pour rendre hommage aux centaines de personnes qui se sont mises en danger pour le référendum. — Je souhaite que mes concitoyens soient au courant du travail qu’ont fait les imprimeurs. ...

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... . — Plusieurs d’entre eux ne s’en sont pas rendu compte et n’ont pas trouvé la lettre le lendemain ; d’autres l’ont vue et n’ont pas caché leur surprise. ...

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... La plupart de ceux qui ont vu la lettre se sont présentés à six heures du matin devant leurs écoles. ...

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... Il a même éteint tous ses ordinateurs : — Nous serons quelques jours sans Internet et sans informatique, a-t-il dit à sa famille. À cinq jours de la tenue du référendum, les moindres précautions devaient être prises. ...

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... C’est la première commune qui a donné suite à la lettre que Puigdemont et Junqueras avaient envoyée aux maires pour Gimenells i el Pla de la Font Barcelona 116 ...

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... Pendant que Carles tapissait les murs de la ville, un homme, un ami de la famille avec qui il n’avait jamais parlé de politique, s’est approché de lui : — Éteins ton téléphone, lui a-t-il dit. ...

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... La femme de Guillem faisait partie du commando clandestin depuis des semaines, mais elle avait été d’une discrétion absolue, même avec sa famille. Elle n’avait encore rien révélé à son mari à propos des urnes. — Elle a gardé le silence. ...