Les Bateaux-phares du Saint-Laurent

Page 82

... Les chantiers choisis reçurent les plans du chalutier de référence et furent priés de ne pas tenir compte des parcs pour le tri des captures sur le pont principal ainsi que les détails pour l’entreposage de la glace et du poisson dans la cale. ...

Page 127

... Y pêchaient pas assez pour perdre du poisson là, mais y mangeaient de la morue fraîche à tous les jours si y auraient voulu64. ...

Page 129

... Je lui ai fait prendre de l’huile de castor hier soir. Cela l’a fait évaquer. Ce matin je lui ai mit une mouche de moutarde sur l’estomat. Il avait des douleurs. ...

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Devoirs d'histoire

Page 50

... Dumont, l’intégration des immigrants soit en réalité synonyme d’assimilation pure et simple à la culture canadienne-française. » L’historien soulève les problèmes que pose, selon lui, cette proposition : priorité accordée à l’ethnicité, au groupe canadien-français ...

Page 80

... Le Québec, dans ce tableau, figure au rang de nation annexée à qui s’offrent trois options : l’assimilation, la survivance et l’indépendance. Caractérisée par une logique radicale, la pensée séguiniste adopte un schéma binaire. ...

Page 81

... sible assimilation, impossible indépendance, condamnation à la provincialisation, c’est-à-dire à la médiocrité perpétuelle. » Léon Dion parlait, avec raison, d’un nationalisme pessimiste. ...

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Office du film du Québec (L')

Page 39

... On peut même assimiler cette formule d’éducation par le film à une sorte de « suralimentation intellectuelle » où c’est le plus grand nombre possible de films montrés au plus grand nombre possible de spectateurs qui fait foi de tout18. ...

Page 287

... La compagnie Les Cinéastes Associés conclut ensuite une entente, le 14 juillet 1965, pour le tournage de la séquence de la Réserve de Castors du Québec au lac Mistassini. Le tournage doit avoir lieu du 15 au 20 juillet. ...

Page 291

... Dans Chasse et traite de Bernard Gosselin, le cinéaste présente en 1965 la trappe du castor et des autochtones de la Réserve de Mistassini qui déchargent des peaux à un quai. ...

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Jacques Labrie. Écrits et correspondance

Page 67

... À peine la paix avait-elle réconcilié les deux nations, à peine nos guerriers avaient-ils revu leurs foyers domestiques, que la calomnie renaissant de ses défaites vint répandre son poison subtil sur les discours et les intentions de ces mêmes patriotes ...

Page 72

... Pour cette raison notamment, les unionnaires, comme on les appelle alors, favorisent l’union des deux provinces dans le but avoué de réduire le pouvoir politique des Canadiens français, pour ultimement les assimiler. ...

Page 76

... 66 jacques labrie du point de vue économique et géographique, mais également la nécessité de l’union pour assurer la prédominance britannique et l’assimilation des Canadiens français157. ...

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Sir Henri-Gustave Joly de Lotbinière

Page 37

... Compte tenu de sa situation sociale et personnelle, il ne peut être assimilé totalement au combat des « rouges » pour l’abolition du régime seigneurial. ...

Page 76

... Contre-poison. La Confédération, c’est le salut du Bas-Canada. Il faut se méfier des ennemis de la Confédération, Montréal, Typographie d’Eusèbe Senécal, 1867, p. 24. 8.  ...

Page 90

... Si le Traité de réciprocité a été abrogé, rappellent plusieurs de ses interlocuteurs, c’est que le Canada, dont la politique étrangère est assimilée à celle de la Grande-Bretagne, a montré trop de sympathie pour le Sud durant la guerre de Sécession. ...

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Île aux démons (L')

Page 54

... Près de son village, argue-t-il, se trouve une cité du nom de Quivira, dont Castañeda rapporte la description qu’en fait ce hâbleur : Le Turc prétendit que, dans son pays, à travers les plaines coulait une rivière large de deux lieues, avec des poissons ...

Page 71

... Il les décrit faits de peau et d’os de poissons, c’est-à-dire de mammifères marins, tout ce qui vit dans l’eau étant poisson au xvie siècle et avant. On se renferme, 71 poursuit-il, à l’intérieur. Il s’agit de toute évidence du kayak. ...

Page 81

... Eu égard à l’emplacement du lac sur les cartes, au nord-ouest de la vallée du Saint-Laurent, et à sa vaste superficie, il serait tentant d’assimiler Conibas à la baie d’Hudson. Cette interprétation est toutefois problématique pour 8.  ...

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Autre Marie Morin (L’)

Page 18

... 18 l’autre m arie morin Jacques Morin sont de « sept vingt dix [150] livres tournois », la moitié en travaillant pour lui, et l’autre moitié en castors ou blé froment4. Les marchés se font ordinairement par troc et rarement en monnaie courante. ...

Page 93

... En contrepartie, les associés devront rapporter des Outaouais des pelleteries de castors d’une valeur de 1 924 livres 4 sols 2 deniers3. ...

Page 94

... Ils devront de nouveau rapporter des pelleteries de castors selon le prix en vigueur au bureau de Québec. ...

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Patriotes et Loyaux

Page 21

... Enfin, en 1833, l’octroi à une compagnie britannique de vastes étendues de terres dans les townships du sud de la province trahit le favoritisme qui règne encore dans l’administration et réveille le vieux spectre de l’assimilation. ...

Page 42

... Sous le commandement des deux « Grands Aigles », des « Aigles », équivalents de brigadiers généraux, sous lesquels on retrouve encore deux « Castors » ou capitaines, commandant chacun à cinq « Raquettes » (caporals), dirigeant neuf « Chasseurs » ou simples ...

Page 92

... Le fait saillant de cette assemblée est d’ailleurs la virulente sortie de Bouchette contre les modérés par qui il se dit vilipendé et qui l’auraient même, du fait de son prénom, assimilé à un Britannique. ...

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Louis XIV et le Canada, 1658-1674

Page 33

... Mais l’amour des biens de la terre et le désir d’avoir des castors font que les Hollandais souffrent tout. » L’Iroquois marque sa préférence sans ménagement. ...

Page 94

... Quelques mois après, Bossuet prononçait l’oraison funèbre de cette princesse : « Madame se meurt… » L’affaire des poisons commençait. ...

Page 100

... La France quant à elle demeure un bon débouché pour la morue. « Ils pourraient encore établir un autre commerce dans les Îles de l’Amérique occupées par les Français, en leur portant du poisson, des viandes et du bois de merrain dont ils ont besoin. ...

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Jules-A. Brillant

Page 79

... [Mes amis ne croient pas que nous ayons pu pêcher tout ce poisson.] » Son père Frank notera : « Billy got back this morning as brown as a berrie [Billy est revenu tout bronzé ce matin]39. » En mai 1924, William viendra même présenter à Brillant sa fiancée ...

Page 145

... À l’instar de son prédécesseur, il dispose de compartiments frigorifiques pour le transport de la viande et du poisson. La viande quittera bien sûr le sud pour le nord et le poisson prendra la route inverse. ...

Page 283

... Lui qui a vu son expédition se terminer en queue de poisson, dans des circonstances pénibles, a dû se rendre à Québec pour organiser, avec Quebec Airways, le retour par voie aérienne de certains de ses compagnons qui avaient prolongé leur séjour de pêche ...

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