Pêche à la morue en Nouvelle-France (La)

Pêche à la morue en Nouvelle-France (La)

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... À l’automne 1739, le capitaine de sa barque, Le Saint-Jean, prend livraison du poisson préparé par son mandataire, mais, par méconnaissance de la navigation fluviale, il jette le bateau à la côte près de Matane. ...

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... On devine donc que l’affaire devait concerner des livraisons de poisson ou une insatisfaction ayant trait à la qualité du produit concerné27. ...

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... Il affrète à l’été 1755 un navire de 140 tonneaux, L’Aimable Marguerite, pour acheminer une cargaison de bois et de poisson en direction de la capitale de l’ancienne Guyenne. ...

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... Ce sont Beauharnois et Hocquart qui, déjà en 1745, écrivaient au ministre de la Marine : « Il est dans l’intérêt des autres puissances maritimes que le bénéfice de la pêche du poisson sec ne tombe pas tout entier aux Anglais. ...

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... Ils brûlent tout, maisons, moulin, réserves alimentaires ou en bois, les chaloupes, des goélettes, le poisson empilé, les magasins, les vigneaux et font des prisonniers au passage. ...

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... L’avantage en est de se réserver les espaces nécessaires aux activités de transformation du poisson. Leurs initiatives durent trois ou quatre ans, parfois jusqu’à trente ans. ...

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... Essentiellement centrées sur la capture du poisson, elles sont saisonnières et on ne peut faire autrement. La morue ne « donne » qu’à ...

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... Tout d’abord la proximité des bancs de poisson et des lieux de séchage. ...

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... Épilogue  ♦  365 qui s’y réalisent, comptabilisés pendant toute la saison de pêche, sont acquittés à la fin de l’été en morue dite « bonne, loyale et marchande », soit un poisson de première qualité. ...

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... Trois hommes montent une chaloupe alors que deux autres les assistent à terre pour la manutention du poisson. Les ententes entre membres d’une équipe étant verbales, elles demeurent inconnues. ...