Persistances seigneuriales

Persistances seigneuriales

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... Claude Martel et la Société d’histoire de la région de Terrebonne (SHRT) ont contribué à assurer la pérennité des documents qui étaient en possession de la famille. ...

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... Il raconte comment la SHRT a progressivement acquis ces artefacts, actuellement utilisés à l’île des Moulins, en plus de nombreuses archives privées de la famille. ...

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... à farine (1846), boulangerie (1803), moulin « neuf » (1850), sans oublier le bureau seigneurial (c. 1847). La Bibliothèque municipale de Terrebonne occupe l’ancien moulin à farine, dont la restauration en 1985 a mérité un prix d’architecture101. ...

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... Le manoir de la famille Dionne n’est, en effet, construit qu’en 1853 et l’intérieur, tel qu’il se présente aux visiteurs, montre sans ambiguïté que les seigneurs sont demeurés d’importantes figures de notabilité locale au lendemain de l’abolition. ...

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... L’ensemble d’immeubles patrimoniaux de l’Île-des-Moulins, à Terrebonne, constitue sans doute un contre-exemple, puisque la famille Masson – celle des derniers seigneurs – est devenue emblématique de l’histoire seigneuriale de cette localité, y occultant ...

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... Monogramme de la famille Papineau, Montebello, novembre 2016. Photo : Benoît Grenier. Chapelle funéraire de la famille Papineau, Montebello, novembre 2016. Photo : Benoît Grenier. ...

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... Aux Éboulements, malgré la vente du manoir Laterrière en 1947, l’histoire de cette famille et du régime seigneurial continue de revivre chaque été. ...

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... Au fil des années, on y a présenté des expositions ; les unes portent sur des savoir-faire traditionnels, tels que la pratique de la pêche à l’anguille ou le métier de forgeron ; d’autres dévoilent des récits de vie, comme « Partir pour la famille », ...

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... Ce qui distingue cet événement d’autres reconstitutions historiques, c’est certainement la présence, tout au long de la fin de semaine, de membres de la famille Lotbinière-Harwood. « Il n’y en a pas beaucoup, au Québec, des seigneuries avec la famille ...

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... Un des membres de la famille, normalement l’aîné des hommes, se voit alors demander la permission de procéder à la plantation. Pour la famille Lotbinière-Harwood, disséminée un peu partout au Canada, l’événement est l’occasion de retrouvailles. ...