Pointe-Saint-Charles

Pointe-Saint-Charles

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... On parle surtout l’anglais dans cette section de la rue Charon  seulement trois familles sur : 34 sont francophones dans les sept pages du recensement retenues ; sept chefs de famille ont des noms à consonance française parmi les 44 occupants inscrits ...

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... chapitre 3 • Trois familles de 1850 à 1900 – La première génération 60 $)10. Selon le rôle d’évaluation locative de 1890, la valeur locative la plus fréquente du bout de rue (21/44) est de 60 $ par année – soit probablement 6  par mois. ...

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... On aurait pu les percevoir comme une famille pauvre. Trois ou quatre ans plus tard, ils peuvent plutôt apparaître comme un ménage relativement à l’aise. ...

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... chapitre 3 • Trois familles de 1850 à 1900 – La première génération département des wagons du GTR. ...

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... 126 pointe-saint-charles Quand la famille s’installe dans ce logement en 1889, elle compte cinq jeunes. Il manque Joséphine, la deuxième des filles. ...

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... chapitre 3 • Trois familles de 1850 à 1900 – La première génération 127 95. La maison de la rue de Châteauguay et ses voisines. ...

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... La plupart des membres de la famille savent lire et écrire. Estelle dit savoir lire mais pas écrire. Fait plus étonnant, Marie-Louise ne sait ni lire ni écrire, ce qui est très inhabituel pour une fillette de huit ans. ...

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... chapitre 3 • Trois familles de 1850 à 1900 – La première génération de juin (probablement le 1er mai), remplacés par des Bissonnette. Les déménagements semblent encore plus fréquents dans les petits logements du troisième étage. ...

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... chapitre 3 • Trois familles de 1850 à 1900 – La première génération 131 98. À gauche, maison où Joséphine Galarneau et son mari Yves-Marie Monfort habitent en 1891 (à droite de la porte cochère). ...

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... La mortalité infantile à laquelle Estelle et son mari ont été confrontés les situe précisément dans le triste créneau statistique des familles francophones de Montréal perdant en moyenne près de 400 enfants en bas âge pour mille naissances vivantes, à ...