Pointe-Saint-Charles

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... chapitre 3 • Trois familles de 1850 à 1900 – La première génération spécifique. À l’opposé, les ouvriers les plus qualifiés de 1880 sont les plus nombreux à rester jusqu’en 1896 tout en conservant le même métier (42 %). ...

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... chapitre 3 • Trois familles de 1850 à 1900 – La première génération 135 101. ...

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... bilingues, dans l’atelier des wagons du GTR, sur la rue Charon en 1885, sur les rues commerciales Wellington et du Centre, dans les épiceries de coin de rue, au marché, dans les « clos de bois », à l’hôtel ou à la taverne et, qui sait, lors de promenades en famille ...

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... chapitre 3 • Trois familles de 1850 à 1900 – La première génération ouvrier ; peut-être est-il en apprentissage. Thomas R., 13 ans, va quant à lui probablement encore à l’école comme beaucoup de garçons de son âge. ...

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... Au cours des années 1890, les jeunes Turnbull occupent des logements dans ces deux duplex, celui de la famille et celui des Maver. ...

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... chapitre 3 • Trois familles de 1850 à 1900 – La première génération 139 104. Détail de la ­corniche de la seconde maison TurnbullNeilson, construite en 1889, dont le motif peu courant est semblable à celui du duplex voisin construit en 1888. ...

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... chapitre 3 • Trois familles de 1850 à 1900 – La première génération Gracie McNeil, des méthodistes nés en Angleterre et en Ontario, qui ont deux enfants. ...

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... Les familles de plus grande taille peuvent trouver des logements neufs 177 plus larges, avec des plans en L (fig. 158)60. On construit ces nouvelles maisons dans le sens de la profondeur des lots, avec des dépendances étagées à l’arrière. ...

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... En suivant les ménages de la deuxième génération des familles Mullins, Galarneau et Turnbull. Nous avons rencontré plusieurs cas de maisons rénovées au début du xxe siècle. 68.  Bélanger et al., op. cit., p. 8. ...

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... Un dernier plan La chute de la mortalité infantile Avant de rencontrer l’ensemble des ménages de la Pointe en 1921 et de suivre la deuxième génération des familles Turnbull, Mullins et Galarneau, il convient d’aborder une seconde fois la difficile question ...