Premiers Juifs d'Amérique, 1760-1860 (Les)

Premiers Juifs d'Amérique, 1760-1860 (Les)

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... De toute son existence, Aaron n’a jamais rencontré en effet d’endroits plus propices pour fonder une famille que la petite ville de Trois-Rivières. Il ne lui manque qu’une future épouse. ...

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... Aaron lui a parfois servi des mises en garde, le menace de mettre ses comptes en collection et l’avertit, du moins dans une lettre du 4 janvier 1787, de se méfier des Hollandais de New York (ASTR, 0009-J-a-3). Le second frère, Moses, vit au Canada. ...

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... Pour ne pas choquer certains Juifs, j’ajouterai volontiers que la famille canadienne-­ f rançaise traditionnelle nous avait également habitués à des nombres comparables d’enfants. ...

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... On finit par reconstituer les familles et je crois pouvoir présenter un tableau à peu près complet de trois générations de Hart et leurs liens avec les principales familles juives : les David, les Judah, les Joseph, les Hays, les Solomons. ...

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... C’est le mouton noir de la famille. On ne fait pas plus noir. ...

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... Aaron et Dorothée font bien leur possible et multiplient les lettres de recommandations. Ils avaient d’abord eu l’intention de confier Moses à la surveillance de l’oncle Henry à Albany. Des stages à Plattsburgh ou Burlington étaient prévus. ...

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... Moses Hart tente sa chance à Nicolet puis à Sorel (William Henry) Même si la famille est installée depuis 1778 dans une demeure plus vaste que cet appartement situé au-dessus du magasin de la rue du Platon, loué en 1762, la maison de la rue Notre-Dame ...

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... Lettre du 27 mars 1799. ...

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... James Reid, juge à Montréal et un intime de la famille Hart, demande à Pierre Bédard, juge à TroisRivières, des informations que celui-ci lui transmet dans ...

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... une longue lettre datée du 6 janvier 1816 et conservée dans le fonds Baby à l’Université de Montréal. Évidemment, Bédard n’est pas avare d’explications, mais il faut, pour déchiffrer cette lettre, un courage que je n’ai pas. ...