... Jean Giono, Que ma joie de meure, Paris, Le Livre de Poche, 1971, [1959], 504 p. Julien Gracq, En lisant en écrivant, Paris, José Corti, 1981, [1980], 302 p. ...
Revue Littoral No 08
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... C’est très beau, tu sais. […] Puis les eaux s’élargissent et c’est une sorte de lac et puis Sorel, et tout près les îles de Sorel, le Chenal-du Moine, le Chenal-des-Passes et le Chenal-Vert… » (TC, 213) 18 Julien Gracq, En lisant en écrivant, Paris, ...
... Le pari de l'écriture » (BAnQ et Presses de l'Université Laval, 2008) de même qu'à la direction de l'ouvrage Cahiers Yves-Thériault | (Dernier havre, 2004). ...
... » – « Non, je crois [que] sa colère, c’est au début déjà… quand il voit la façon dont on traite ce chien… Il est aussi seul dans cette aventure, il n’y a pas d’hommes, il n’y a pas d’amis, il n’y a pas de femmes… Il est vraiment seul, seul. ...
... C’est donc à regret que j’annonce à mon interlocuteur : – « J’en aurais terminé avec mes questions. » – « Voilà. » – « Voilà. » Il s’informe de mon retour sur Paris, nous échangeons sur le froid humide européen et sur celui, plus sec, du Québec… Quoique ...
... irait du grand jardin à la fenêtre qui l’encadre, puis de la fenêtre à la pluie fine. 100 Quant à la toile exposée, elle ne montre plus la pluie fine et les fleurs du jardin, elle évoque plutôt la pluie sur la fenêtre donnant sur le jardin, par des traits ...
... Formée en droit à Montréal et en sciences politiques à Paris, Monique Durand œuvre aussi comme journaliste indépendante. ...
... . – On n’a pas le temps à matin André, lance Jean-Marie d’un seul trait. – Ah non? 118 André est surpris. Jean-Marie ne refuse jamais une tasse de thé. C’est le breuvage qu’il préfère entre tous. ...
... La frénésie du croquis fait à grands traits cède la place à une sérénité inspirante et créatrice. Le mélange des couleurs se fait de façon réfléchie, à l’image du grand calme qui règne dans toute la maison. ...
... Son propos se situera au carrefour de l’essai et du texte de création, où seront notamment convoqués le « Ah comme la neige a neigé » d’Émile Nelligan, les vers hallucinés d’Anne Hébert, « Mon cœur »; trait de feu sous les palmes de gel, et ceux, dépouillés ...