Trois siècles de tourisme au Québec

Trois siècles de tourisme au Québec

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... Ses descriptions prennent généralement la forme de lettres. Le voyageur chante tout d’abord les panoramas qu’offre le SaintLaurent depuis Gaspé jusqu’à Québec, dont le port peut accueillir en même temps cent vaisseaux de ligne. ...

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... C’est à une dame que le voyageur transmet ses observations par lettre. ...

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... » Ainsi terminait-il sa dernière lettre, datée du 15 avril 1749. Dix ans plus tard survenait la bataille des plaines d’Abraham. 5. Au XVIIIe siècle, ce terme désignait encore des plantes et des médicaments utilisés comme remèdes. ...

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... 22 Trois siècles de tourisme au Québec vers Anticosti où, rapporte le voyageur, il n’y a pas une baie favorable au mouillage d’un seul navire : aussi, en été, une famille habite sur chaque pointe avec d’abondantes provisions destinées aux matelots en ...

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... Kamouraska, d’ailleurs, était l’unique plage à la mode du Bas-Canada et les familles distinguées de la capitale s’y rencontraient18. P.-J.-O. ...

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... Il ne faut pas oublier qu’à cette époque un certain nombre de familles des États-Unis franchissaient la frontière pour bénéficier pendant tout l’été de vacances vivifiantes sur les bords du SaintLaurent. ...

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... D’autres familles préféraient passer l’été à l’hôtel. À lui seul, le St. Lawrence Hall comptait pas moins de 600 chambres ! ...

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... Pour tous les estivants, le dernier événement de la saison était l’anniversaire du chef de la famille que marquait un gargantuesque repas en plein air réunissant près d’une centaine de convives. ...

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... De riches citoyens des États-Unis entreprirent donc éventuellement la construction d’opulentes villas dans certaines localités du Bas-SaintLaurent où leur famille venait passer l’été. En 1852-1853, la Grand Trunk Ry. ...

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... L’un d’eux, un homme de lettres français, Adolphe de Puibusque, avait été reçu par l’éminent bibliographe GeorgesBarthélemi Faribault ; le lendemain d’une excursion, il écrivait un mot à celui-ci, avec une pointe d’humour : « Nous avons eu hier un charmant ...