... Chaque convoi de wagons emportait des familles canadiennes. Le Grand-Tronc les transportait directement, de Montréal, de Saint-Hyacinthe ou de Sherbrooke, jusqu’à Lewiston et Portland. Les gares étaient pleines. ...

Une race d'étrangers
... Selon un modèle d’immigration, des individus venaient en NouvelleAngleterre, exploraient le territoire, puis envoyaient chercher leur famille. ...
... La famille canadienne-française du xixe siècle était une unité économique modélisée sur la ferme de subsistance87. Les enfants d’une ferme familiale travaillaient à des tâches adaptées à leurs capacités dès qu’ils en étaient capables. ...
... Notre notion de soutien de famille était étrangère à ces familles. Chacun gagnait son pain en contribuant de manière coopérative à l’ensemble. ...
... Les familles qui quittaient une ville industrielle pour une autre au premier signe de grève étaient celles qui avaient l’intention de retourner au Québec. ...
... En 1881, « famille française » et « ouvrier d’usine » étaient des termes synonymes à Brunswick. En tout, 550 employés ont participé à la grève de 1881, 175 hommes et 375 femmes. ...
... Les deux chefs de famille étaient dans la cinquantaine. Les recensements fédéraux décennaux suivants ne retrouvent aucune de ces familles à Brunswick. ...
... Ne connaissant pas les noms de famille canadiens-français, les recenseurs avaient tendance à les épeler phonétiquement ou à les transformer en un nom anglais familier. ...
... Certaines de ces familles étaient apparentées. L’un des chefs de famille était le gendre d’un autre. Un autre chef de famille a émigré avec son fils adulte, dont la famille forme un ménage distinct. ...
... une r ace d’étr angers 162 • ST-OURS Riviè ST-LUC • • ST-SIMON • STE-ROSALIE Riviè re Ric h elieu • VARENNES MONTRÉAL ST-JUDE • ST-HUGHES • re Ya mask a ST-DENIS • • ST-DAMASE • ST-CÉSAIRE SHERBROOKE Paroisses souches des familles franco-américaines ...