... Ce ne sont toutefois pas tous les Micmacs qui agissaient de la sorte ; certains groupes ont continué à traiter avec les Acadiens tandis que d’autres sont simplement partis s’établir ailleurs. 71. ...
Une sorte de paradis paysan?
... Ils affirmèrent plus tard que les « anciennes frontières » de l’Acadie cédées dans le traité n’incluaient que la péninsule et non l’intérieur des terres de l’actuel Nouveau-Brunswick. ...
... Henri Mendras, Les sociétés paysannes, Paris, Éditions Gallimard, 1995 [1976], p. 41 ; Alain Croix et Jean Quéniart, De la Renaissance à l’aube des Lumières : histoire culturelle de la France, vol. 2, Paris, Éditions du Seuil, 2005 [1997], p. 52-56 ; ...
... Anette Smedley-Weill, Les intendants de Louis XIV, Paris, Fayard, 1995, p. 247 ; Judith Miller, Mastering the Market : The State and the Grain Trade in Northern France, 1700-1860, Cambridge, Cambridge University Press, 1998. ...
... Jacques Dupâquier, La population rurale du bassin parisien à l’époque de Louis XIV, Paris, Éditions de l’École des hautes études en sciences sociales, 1979, p. 87 ; Rolande Collas, La contrebande du sel entre Touraine et Poitou, Chambray, C.L.D., 2000 ...
... « Chauvelin au CG », 14 janvier 1711, Tours, dans A.M. de Boislisle, Correspondance des Contrôleurs-Généraux des Finances avec les intendants des provinces, Paris, Imprimerie nationale 1874, p. 344 ; « Chauvelin au CG », 19 novembre 1711, Tours, série ...
... André Corvisier, L’armée française de la fin du xvii e siècle au ministère de Choiseul : le soldat, 2 vol., Paris, Presses universitaires de France, 1964, p. 205. 99. ...
... Au même moment, il confiait à ses supérieurs, à Londres, que les Acadiens hors de la ville « savent très bien qu’ils sont hors de mon contrôle » et qu’ils continueraient à traiter avec les Français. ...
... La traite des fourrures employait plusieurs jeunes hommes qui ont acquis beaucoup d’expérience avec la chasse et la recherche de nourriture en forêt, et qui ont appris de leurs alliés autochtones. ...
... Ces craintes étaient entretenues par la présence constante des prêtres et missionnaires français dans la colonie, qui avait été permise par le traité d’Utrecht afin que les habitants puissent continuer à pratiquer leur religion. ...