... Les ressources naturelles comme les forêts, le poisson et les fourrures pouvaient s’avérer d’importants suppléments à l’économie rurale, mais étaient aussi synonyme de rivalité et d’une volonté, de la part des élites et de l’État, d’en prendre le contrôle ...
Une sorte de paradis paysan?
... Au départ, les efforts de colonisation de la France étaient tournés vers les ressources naturelles comme le poisson et les fourrures. ...
... De plus, la région était riche en poisson et mollusques, ce qui pouvait compléter le régime alimentaire des Acadiens, surtout au début 21. Kennedy, « Marshland Colonization in Acadia and Poitou », p. 65 ; Matthew G. ...
... Andrée Crépeau et Brenda Dunn ont trouvé une présence importante de restes de poisson et de mollusques dans une fosse à ordure acadienne : « L’établissement Melanson : un site agricole acadien (vers 1664-1755) », Ottawa, Parcs Canada, Bulletin de recherche ...
... nous pouvons présumer que la dispersion des Acadiens sur le territoire a empêché la propagation des maladies et que leur état de santé général a été maintenu grâce à la diversité de leurs récoltes et à l’accès à des sources alternatives de gibier et de poisson ...
... Les régions côtières et marécageuses du Poitou faisaient toutefois exception puisque le poisson, les crustacés et la sauvagine complémentaient abondamment la diète rurale71. ...
... Une des différences les plus importantes avec l’environnement naturel de l’Acadie était la présence ici de poissons et d’animaux à fourrure. ...
... C’est le poisson, en premier lieu, qui a attiré les Européens dans la région des Maritimes, et la pêche est demeurée sa principale attraction. ...
... En 1675, 440 bateaux et 1 000 pêcheurs de la Nouvelle-Angleterre ratissaient ces eaux, rapportant 60 000 quintaux ou 6 250 tonnes métriques de poisson séché chaque année. ...
... Les Micmacs aussi étaient au fait des préoccupations des Européens envers le poisson. ...