Vie Musicale en Nouvelle-France (La)
Élizabeth Gallat-Morin et Jean-Pierre Pinson
- 42,95 $PapierISBN: 9782894483503
-
19,99 $PDFISBN: 9782896643219
Le format PDF est un fichier électronique du livre, qui pourra être téléchargé sur votre poste, le téléchargement sera possible pour les 48 heures suivant l’achat. Votre nom ainsi que le copyright apparaîtront en filigrane et en bas de chaque page du fichier PDF.
Fruit de près de vingt ans de recherche à travers de nombreuses institutionscanadiennes, françaises et américaines, cet ouvrage établit le bilanle plus complet jamais paru sur la vie musicale en Nouvelle-France.Jean-Pierre Pinson retrace dans le détail le chant dans les communautésreligieuses, les paroisses, dont celle de Montréal, la cathédrale de Québec, lescollèges et les séminaires. À travers la diversité des messes, des offices, desTe Deum, le lecteur découvrira la richesse des chants liturgiques depuis leplain-chant simple et le plain-chant musical de Nivers, de Du Mont, de laSainte Famille ou de la Messe Bordeloise jusqu’aux fastes du faux-bourdon etde la polyphonie.
Après avoir décrit l’histoire et le répertoire des orgues de Québec et deMontréal, Élisabeth Gallat-Morin brosse le portrait d’une société éprise demusique. Dans les demeures des gouverneurs et des intendants, voilà lesdanses, les bals, les concerts, les représentations théâtrales, les chant privés.Voilà aussi les instruments chez les musiciens amateurs ou professionnels, lesmaîtres de danse et les militaires. La Nouvelle-France se voulait donc le refletfidèle de la France musicale et de ses grands compositeurs.
Pour compléter ce panorama, Érich Schwandt décrit la pratique de lamusique figurée et des petits motets chez les Ursulines et à l’Hôtel-Dieu deQuébec, Paul-André Dubois consacre un chapitre au chant des missionnaireschez les Amérindiens. Enfin Conrad Laforte brosse un tableau de la chansonfrançaise de tradition orale à travers les chansons de canotiers.
Ce livre se veut aussi une compilation des très nombreuses sources conservéesdans les institutions publiques ou privées. On y trouvera donc lerelevé et la localisation des relations, annales, correspondances, mémoires,règlements, mais surtout des livres et manuscrits de musique dont nombred’entre eux réapparaissent ici pour la première fois.
La vie musicale en Nouvelle-France a été recommandé par les académiciens de l'Académie des sciences morales et politiques (Paris) lors de la séance du 17 mai 2004. Cette académie fait partie de l'Institut de France, dont une autre des cinq composantes est l'Académie française.
On trouvera la pittoresque présentation de l'académicienne Claude Dulong-Sainteny sur le site de l'Académie.
Table des matières
La Vie Musicale en Nouvelle-France | 1 |
Remerciements | 7 |
Abréviations | 11 |
Introduction générale | 13 |
PREMIÈRE PARTIE: La musique religieuse | 21 |
Introduction | 23 |
CHAPITRE 1: Les institutions religieuses | 33 |
CHAPITRE 2: Les communautés féminines | 109 |
CHAPITRE 3: L’orgue, les organistes et la musique d’orgue | 143 |
CHAPITRE 4: Le plain-chant de la Nouvelle-France | 175 |
CHAPITRE 5: Le petit motet chez les Ursulines et à l’Hôtel-Dieu de Québec | 231 |
CHAPITRE 6: Les Amérindiens, les missionnaires et la musique européenne | 255 |
CHAPITRE 7: Les protestants | 281 |
DEUXIÈME PARTIE: La musique en société | 285 |
Introduction | 287 |
CHAPITRE 8: Les activités musicales | 291 |
CHAPITRE 9: Les acteurs de la vie musicale: les amateurs | 325 |
CHAPITRE 10: Les acteurs de la vie musicale: les musiciens de métier | 379 |
CHAPITRE 11: La pratique musicale dans les capitales des provinces françaises et dans la capitale de la Nouvelle-France | 405 |
CHAPITRE 12: Chansons françaises de tradition oraleen Amérique du Nord | 427 |
Conclusion générale | 441 |
Annexes | 447 |
Notes | 481 |
Bibliographie | 541 |
Discographie | 551 |
Sources des illustrations | 553 |
INDEX | 557 |
Biographies des auteurs et collaborateurs | 571 |
Table des matières | 573 |
Ce livre a fait parler de lui :
-
« Un voyage dans le temps [qui] vous permettra de découvrir les racines de notre musique québécoise. »
Virginy Cloutier-Naud, Magazine Nostalgie