Vie Musicale en Nouvelle-France (La)

Vie Musicale en Nouvelle-France (La)

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... Ils auront un fils, Louis, baptisé à Notre-Dame de Montréal l’année suivante ; la famille habite la rue Saint-Joseph. ...

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... En effet, il « désire que les familles d’esclaves ne soient point séparées », confirmant peut-être par là le cliché selon lequel l’ambiance musicale dans laquelle il a été élevé adoucit les mœurs32. ...

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... vie musicale : les musiciens de métier 389 François Moine dit Bourguignon a été uniquement maître de danse, du moins est-ce le seul métier qui lui soit attribué dans les actes notariés pendant toute sa vie ; son fils, en se mariant, entre dans une famille ...

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... Le contrat de mariage est conclu à Québec le 11 février 1699, selon le rituel connu, en présence d’amis du fiancé, dont plusieurs habitent Charlesbourg, et de nombreux membres de la famille de Marie Madeleine. ...

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... Plusieurs tambours se marient et fondent des familles, souvent nombreuses, tel ce Jean Cluseau L’Orange, tambour major originaire de Nontron au Périgord, marié en 1694 avec Anne Jamin, qui lui donnera 10 enfants. ...

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... possible de donner un tableau complet de la vie familiale de tous les musiciens des troupes présents en Nouvelle-France, mais cet aperçu rend compte du rôle très actif qu’ils jouent dans la ville et de l’intégration de plusieurs d’entre eux dans les familles ...

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... Dans une lettre de 1898, il indique qu’il a acquis les instruments « during a business sojourn of some years […] in the ancient city of Québec ». ...

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... séminaristes et c’est à cette fin que le prêtre, Charles Berthelot, a donné « pour demeurer à la Canardière » le volumineux manuscrit de danses et de méthodes d’instruments, relié à la méthode de flûte de Hotteterre, dont nous avons déjà parlé à propos de la famille ...

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... Plusieurs ont fait souche en Nouvelle-France, se mariant et élevant des familles. ...

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... Comme l’explique Jean Quéniart, « la présence un peu partout d’un noyau de familles de la haute aristocratie ou de grands administrateurs […] amène un peu partout les nostalgies ou les vanités provinciales à recréer, à cent ou deux cents lieues de distance ...