... En effet, « depuis longtemps, faire de la musique en petite société intime — la famille, quelques amis proches — était une constante de la sociabilité traditionnelle25 ». ...
Vie Musicale en Nouvelle-France (La)
... À Caen, une orpheline née de bonne famille mais sans ressources, Marthe Le Rochois, a la chance de chanter devant Lully, qui en fera la créatrice de plusieurs de ses grands rôles. ...
... conseiller du roi au Parlement de Provence, et sa femme, Anne de Garnier de Julians, tous deux d’Aix-en-Provence, envoient leurs deux fils à Paris en 171942 faire leurs études au Collège de Clermont, un oncle se préoccupe de leur formation musicale ; par ses lettres ...
... Foire ou l’opéra comique, publié à partir de 1721, gagne en popularité chez les amateurs de musique. « Il peut surtout être d’un grand secours à la campagne [dit la préface], où l’on fait souvent succéder aux autres plaisirs celui de présenter dans une famille ...
... 416 la vie musicale en nouvelle-france plus d’un recueil réunissant diverses pièces pour ces instruments, goût partagé par la famille de Giraud, qui possède un recueil factice — c’est-à-dire une compilation — comprenant plusieurs pièces pour « musettes ...
... de nos familles — soit une famille sur cinq — nous avons relevé un ou plusieurs instruments », observe Françoise Lehoux, « permet en effet de dire [que] certains bourgeois aimaient assez la musique pour organiser entre amis des concerts de chambre54. ...
... Dans son étude sur Paris, Annik Pardailhé-Galabrun et ses équipes ont dénombré 150 instruments de musique dans 1800 foyers, ce qui correspond à un instrument pour douze foyers ; chez les médecins, cette proportion est d’un instrument pour cinq familles ...
... facture ou mal griffonnés, a rassemblé au fil du temps, un corpus musical complet : plain-chant simple ou musical pour toute l’année et toutes les fêtes, Messes royales de Du Mont, chants de Nivers ou de La Feillée, Messe bordeloise, office de la Sainte Famille ...
... divers événements : naissance du Dauphin, visite d’émissaires étrangers, déplacements de l’intendant à Montréal ; pendant tout le Régime français, les bals ont lieu chez le gouverneur et l’intendant, chez des particuliers aussi, comme en témoignent les lettres ...
... La Nouvelle-France ne posséda donc pas de compositeurs et d’œuvres qui lui fussent propres, hormis la prose de la Sainte Famille et sans doute certaines pièces dans les manuscrits des religieuses ou quelques musiques de circonstance comme les chansons ...