... En outre, une lettre du supérieur de Montréal, en 1703, précise que le maître d’école « devoit apprendre à ses écoliers le plainchant et les cérémonies414 ». ...
Vie Musicale en Nouvelle-France (La)
... Mais on trouve aussi des laïcs, dont des fils de famille exilés de France431, ou des maîtres ambulants. Il n’est pas rare que les maîtres soient euxmêmes des chantres. ...
... Les petites écoles enseignent les lettres, puis l’épellation et la lecture d’ouvrages latins440 »*. ...
... La fin de cette première période est marquée par la lettre bien connue de Marie de l’Incarnation datée du 13 septembre 1661, où elle fait allusion aux restrictions de Mgr de Laval : Il s’en est peu fallu que notre chant n’ait été retranché. ...
... Il faut enfin souligner le rôle que la fête de la Sainte Famille, propre à la Nouvelle-France, va jouer chez les Ursulines au xviiie siècle. ...
... Quelque huit mois après leur arrivée, le 24 avril 1728, la Mère Marie-Madeleine Hachard décrit dans une lettre à son père comment se déroule la Semaine sainte dans la communauté nouvellement établie. ...
... vaisseaux anglais conduits par l’amiral Walker (qui coulèrent de manière inespérée), les Hospitalières s’adonnèrent à force dévotions, communions, processions « pieds nuts et la corde au col », comme les Sulpiciens et les dames de la confrérie de la Sainte Famille ...
... Elle a pu intervenir dans la notation de certains offices en plain-chant, dont celui de la Sainte Famille. ...
... En 1671, Marguerite Bourgeoys obtient toutefois de Louis XIV les lettres patentes avec plein pouvoir pour l’établissement de la Congrégation de Notre-Dame dans l’île de Montréal en la Nouvelle-France, sous la juridiction de l’Ordinaire [l’évêque]. ...
... À Montréal, dans sa lettre de 1695 à Monsieur Tronson, alors supérieur du Séminaire de Saint-Sulpice à Paris, Marguerite Bourgeoys révèle que les sœurs « ne chantent ny grande messe ny vespres dans leur eglise mais quelque motet aux messes basses et aux ...