Nos livres font parler d'eux
Je pars en Inde
Et finalement, ce livre m'a transporté, m'a rappelé mille et un souvenirs, m'a émue, m'a fait rire.
Je pars en Inde est une lecture douce et chargée d'émotions. Pour tous ceux et celles qui y sont déjà parti-es. Et pour tous ceux et celles qui en rêvent.
, Blogue Page par pageCharte de la langue française (La)
Son ouvrage de littérature juridique est éclairant à plusieurs niveaux. Il fournit une explication rigoureuse de la mécanique interne des droits du français dans le contexte canadien, en plus de nous orienter dans les dédales de ces affaires, dont les plus connues (Blaikie, Miriam, Ford, Nguyen) qui ont infléchi le destin de la Charte.
Pascal Chevrette, Les Cahiers de lecture de L’Action nationaleUne école à la dérive
Bonne nouvelle pour nous, lecteurs, l'auteur a eu la riche idée de nous décrire son expérience sous une plume savoureuse.
Car si la plume est douce et précise, le portrait que brosse l'auteur est sans concession.
Le livre se lit comme un roman, et les qualités d'écriture de l'auteur méritent d'être soulignées. Les passages d'observations "de l'intérieur" sont d'ailleurs parmi les plus savoureux alors que Nicolas Bertrand nous décrit, de manière quasi anthropologique, les dysfonctionnements du système éducatif du Nunavik.
Marjorie Vidal, Les Cahiers de lecture de L’Action nationaleHistoires centricoises
Comme d'habitude, les écrits de l'ancien professeur de Cégep ont été conçus pour divertir, mais non sans poser un regard critique sur la société actuelle, avec une brève fenêtre sur ce à quoi pourrait ressembler le monde de demain.
Yanick Poisson, La TribuneConstruire la nation au petit écran
... La recherche de Côté est fascinante. Elle met en exergue le processus critique ainsi que les tensions inhérentes à la création "de l'histoire", tout en soulignant combien le petit écran agit comme miroir de "nous-mêmes" et comme vecteur d'identité.
Anne Bruneau-Poulin, MENSbleu des rives (Le)
L'écriture de Lapalme coule doucement, envoûte. Les images qu'elle crée participent d'une poétique de l'organique qui fait appel à l'ensemble des sens.
Si les récits de Marie-Claude Lapalme s'inspirent sans aucun doute des entités de la mythologies de Lovecraft, ils s'inscrivent surtout dans la foulé fantastique du Claude Mathieu de La mort exquise, tant par leur ambiguïté symbolique, leur côté envoûtant et sublime que par l'intimité provoquée par l'instance narrative. Avec une tentative aussi convaincante, il ne reste qu'à espérer que l'auteure récidive bientôt dans cette voie.
Sophie Drouin, Magazine SpiraleSouffle et la Flamme (Le)
À n'en point douter, il s'agit ici d'un livre qui ne laissera personne indifférent, en France comme au Québec, à cause de l'éclairage nouveau qu'il jette sur une période de l'histoire de l'art (1930-1950) qui fut cruciale de part et d'autres de l'Atlantique.
, Communication et sociétésJe pars en Inde
Livre-témoignage d'une grande lucidité, Je pars en Inde fait le pari de transporter le lecteur dans un univers indien qui n'est pas à un paradoxe près et dans lequel le vrai côtoie le toc, l'espoir et la désolation. Petit à petit, les sillons creusés par Véronique Daudelin s'offrent en miroir au vécu du spectateur, qui délaisse le jugement des premières pages pour se laisser interpeller par les questions profondes qui sommeillent en chacun.
Philippe Vaillancourt, PrésenceHistoires centricoises
Jean-Pierre April va écrire les perversités, les incompréhensions, les pertes et les deuils que la société porte. Dans une écriture franche, sans fioritures, de beaux textes très captivants. Une belle lecture d'hiver qui met de la chaleur dans le coeur.
, Blogue Les mille et une pagesÉtagères et barreaux de fer
« Étagères et barreaux de fer. Une histoire du Morrin Centre est un ouvrage bien documenté, dont les textes s’appuient sur des documents d’archives et une bibliographie exhaustive. Les illustrations sont abondantes et supportent bien les propos développés. […]Cet ouvrage constitue une contribution intéressante à l’histoire de Québec, et plus particulièrement à l’histoire carcérale et aux institutions anglophones de la ville. »
Marie-Ève Bonenfant, Revue d’histoire de l’Amérique françaiseNouveaux regards en histoire seigneuriale au Québec
« un incontournable pour quiconque souhaiterait s’initier à la question seigneuriale »
Maude Flamand-Hubert, Revue d’histoire de l’Amérique françaiseJe pars en Inde
En 2010, Véronique Daudelin a fait sa valise avec un seul t-shirt en direction de New Delhi. Son voyage de quatre mois en Inde l'a changée à jamais. Dépaysée et désorientée, celle qui voulait se sauver d'elle-même s'est finalement trouvée. À des kilomètres de sa ville natale et à mille lieues de ce qu'elle avait imaginé.
Isabelle Laramée, Le Canada françaisLouise Beaudet
Merci à Marjolaine Saint-Pierre de nous avoir fait connaître cette remarquable oubliée. Agrémenté de quantité de photos d'époque, Louise Beaudet. De Lotbinière à Broadway vient de paraître au Septentrion.
Dominique Alexis, La terre de chez nousLouise Beaudet
La biographe Marjolaine Saint-Pierre a déniché une fabuleuse histoire remontant à un siècle, qui met en vedette une petite fille de chez nous, née en 1859 et devenue une étoile internationale de la scène, à la manière des Emma Albany et Èva Tanguay, qui ont brillé à la même époque. Dans Louise Beaudet. De Lotbinière à Broadway, Marjolaine Saint-Pierre raconte le parcours épatant et méconnu de celle que ses admirateurs appelaient "Little Miss Beaudet".
Louis Cornellier, Le DevoirPassion Haïti
Passion Haïti, l'ouvrage que Rodney Saint-Éloi nous propose cette fois, est une véritable plongée poétique dans son pays natal, dans sa langue, son imaginaire, ses rêves: bref, dans ces lieux où la poésie, et peut-être mieux que n'importe quoi d'autre, peut nous transporter et par lesquels il faut passer pour un peu comprendre un peuple, pour le comprendre au-delà des clichés, des idées toutes faites et de ces innombrables raccourcis qu'emprunte la pensée pressée.
Par-delà les attachants portraits de personnages, par-delà les fait contés et les anecdotes rapportées, ce livre porte en somme sur la recherche de soi et de la liberté, à la fois dans l'exil (ce "bien étrange pays", dit Saint-Éloi) et dans l'ancrage qui nous est lui aussi indispensable - dans son cas, l'ancrage dans cette terre "de passion, de délire et de folie", de vaudou aussi, qu'est Haïti. En refermant l'ouvrage, je n'ai pas pu m'empêcher de penser à Marcel Pagnol, qui disait qu'on atteint l'universel en restant chez soi. Car le fait est qu'en parlant d'Haïti et de ses habitants, de sa nourriture, du racisme, de bonté, de rêves et de tant d'autres choses encore, c'est finalement de la condition humaine que Saint-Éloi nous aura parlé. Un très beau livre, donc, écrit dans une langue ample, belle, tendre et poétique, un livre à savourer, et surtout à méditer, lentement et en douceur. Comme si vous étiez en Haïti comme chez vous...
Normand Baillargeon,Passion Haïti
Dans Passion Haïti
, Rodney Saint-Éloi, cet "exilé" haïtien, nous raconte son pays natal. Et au risque de paraître cliché, il nous le décrit avec son coeur et son âme. Vraiment. Par sa prose, il nous explique toute la complexité derrière l'identité haïtienne, ses blessures, ses torts, sa pauvreté, l'hypocrisie de son élite, mais aussi (et surtout) sa beauté, sa richesse, son humour et son amour. En passant en revue plusieurs aspects, comme la relation à la nourriture, la langue, la condition des femmes, la religion, le racisme, Rodney Saint-Éloi dresse un portrait fort intéressant d'Haïti qui clash souvent avec nos idées reçues.Bref, l'oeuvre de Rodney Saint-Éloi aux éditions Hamac est-elle un éloge à Haïti, une critique, une déclaration d'amour... c'est tout ça à la fois. C'est le regard que l'auteur porte à son pays d'origine, son point de vue.
Françoise Conea, Blogue Page par page