Nos livres font parler d'eux
Rêve du Petit-Champlain (Le)
Quel beau livre que Le rêve du Petit-Champlain. C'est toute leur aventure qu'ils racontent et illustrent superbement.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comChroniques d’une mère indigne (Les)
Ceux qui n’ont pas connu Mére indigne dans sa version virtuelle auront le plaisir de découvrir une auteure hyper drôle qui relate les tribulations de sa petite famille avec une justesse étonnante.
À lire pendant que les enfants se gavent de crème glacée chez la voisine d’en face...
, Tout simplement ClodineEssence de la vie (L’)
L'écriture de l'essai est simple, réfléchie, et appuyée de références à de grands penseurs et à des spécialistes. Sans prétention, Andréa Richard fait le tour de ce qui est, pour elle, essentiel.
Cindy Lévesque, Le NouvellisteChroniques d’une mère indigne (Les)
Ici, pas de récit à fleur bleue. La vie de Mère indigne se passe dans les pleurs, la morve, la vie de couple bouleversée et un quotidien souvent barbant. De ses propres mots, Mère indigne a "des idées impures", qu'on prend plaisir à partager. Les chroniques d'une mère indigne ne sont pas un roman; c'est une suite de clichés polaroïds qui brassent les convictions. Et c'est sympathique à souhait, malgré le ton résolument grinçant.
Cindy Lévesque, Le NouvellisteLucie le Chien
Lucie, c'est un canin des plus humanisés, qui discourt sur les grandes véritées de la vie et sur son jouet préféré ou son envie d'uriner. D'où le titre du blogue-livre: Lucie le chien.
Photos en primes, le petit bouquin de Sophie Bienvenu assume ce que plusieurs maître d'animaux font chez soi, sans le dire: Lucie s'exprime ici au "je" et raconte ses états d'âmes, qui semblent somme toute très crédibles. C'en est presque effrayant.
Cindy Lévesques, Le NouvellisteMadeleine Matou, la femme du meurtrier de Boucherville
Ingénieur à la retraite, versé en généalogie et doué d’un indéniable talent de conteur, l’auteur explore ses sources avec minutie, les interprète, le cas échéant avec pondération et prévient spontanément la plupart des questions du lecteur.
Léo Beaudoin, Montréal en têteMédecins et patriotes. 1837-1838
La plupart des lecteurs, j’en suis sûr, referment ce livre avec la certitude de tenir un ouvrage soigné, d’une facture originale sur un sujet pourtant bien des fois ressassé et trop souvent malmené.
Léo Beaudoin, Montréal en têteApprovisionnement en eau à Montréal (L’)
Basé sur des recherches exhaustives, l’ouvrage de Fougères offre donc un portrait complet de l’approvisionnement en eau, faisant état des aspects techniques, mais aussi juridiques, économiques et politiques, tout en analysant l’imbrication du réseau dans l’espace, dans les pratiques et dans les perceptions du rôle des acteurs publics et privés.
Nicolas Kenny, Revue d’histoire de l’Amérique françaiseChroniques d’une mère indigne (Les)
On voudrait l'avoir comme amie chez qui on pourrait aller décompresser quand on vient de changer la 15e couche de la journée ou quand on est tout simplement à bout! Mère Indigne nous propose de rire de nos enfants, de nos chums, des autres parents et des situations qui viennent pimenter notre quotidien. L’indignité simplifie la vie. Mais surtout elle la rend plus douce et drôlement plus agréable. Riez un bon coup en suivant les aventures de Mère Indigne, Père Indigne, Fille Aînée et Bébé! Assurément, cette Maman-blogue-étudiante au doctorat en philosophie a la plume (ou le clavier!) aiguisée pour décrire les aspects (ou serait-ce les vices?) cachés de la maternité. Pas de tabous : on est indigne et pas à moitié.
Un vent frais qui fait du bien! Indignes de ce monde (occasionnellement, à temps partiel ou à temps plein), voici votre ouvrage à lire ce printemps!
Nadine Decheneaux, Maman pour la vie.comDictionnaire mondial des images
Il s'agit donc d'un véritable dictionnaire, avec des entrées par ordre alphabétique (et une profusion d'illustrations, forcément!), autour des sujets les plus variés, dont le choix nous apparaît quelquefois obscur.
Ce dictionnaire «correspond donc au besoin nouveau de comprendre l'accumulation planétaire des formes visuelles et leur circulation accélérée». C'est une promenade qui emprunte plusieurs sentiers, mais qui demeure fort fascinante.
Paul Cauchon, Le DevoirChroniques d’une mère indigne (Les)
Un grand coup de coeur pour ces aventures de maternité au quotidien, prises avec beaucoup de philosophie et de dérision...
L'ouvrage va jusqu'à inclure certains des commentaires laissés sur Internet avec les textes originaux... et ceux-ci sont toujours aussi intéressants que les nouvelles elles-mêmes.
Lucie le Chien
Oui, quelques malchances pour le héros canin de Lucie le chien, mais un talent tout en sourires pour Sophie Bienvenu, une blogueuse qui règne sur la Toile telle une princesse en son royaume.
Xavier K.Richard, VoirUn taxi la nuit
Les créatures nocturnes, sous la plume de Lalonde, deviennent aussi fascinantes que troublantes. Elles apparaissent toujours comme ça, par hasard. Puis repartent, célèbres.
Son style est cru sans perdre de sa compassion, plutôt cinématographique. Il tisse les anecdotes dans un style si concis et frais que dans chacune de ses courses, on a l'impression d'espionner dans le rétroviseur. Ou, si vous préférez, c'est comme voyager dans la boîte à gants d'un taxi.
Xavier K.Richard, VoirChroniques d’une mère indigne (Les)
Caroline Allard, l'indigne mater, cache sous sa jaquette des bribes de vie délicieusement acidulées. Entre un dialogue avec Fille aînée sur les mystères de la vie et une confession sur le sexe après bébé, Les Chroniques d'une mère indigneest rendu, dans le format du livre, sous sa meilleure expression. Sur la Toile, les billets trop longs perdaient leur saveur. Le bouquin tire avantage de ce genre de texte.
Émilie Folie-Boivin, Le DevoirLucie le Chien
Au fil des 112 pages, la nombriliste Lucie raconte sa vie de chien et sa haine mal assumée pour les félins. Une écriture toute naïve qui imite bien l'univers animal qu'on se plaît à imaginer.
Émilie Boivin, Le DevoirUn taxi la nuit
Un taxi la nuit offre les aventures du métier suivant la chronologie du blogue, c'est-à-dire du plus récent billet au plus ancien. Même si on jette parfois un coup d'oeil à la date, le temps perd ses repères dans le livre et cet artifice devient facultatif, tout comme sa chronologie. Les histoires se suivent et se ressemblent souvent, profil probablement fidèle des nuits dans la cité. C'est forcément par sa sensibilité que l'auteur trace une démarcation entre le livre anecdotique et un recueil authentique.
Émilie Boivin, Le Devoir