Nos livres font parler d'eux

Peur au ventre (La)

L’auteure transmet avec simplicité les confidences de cet acteur de la base, qui a connu le débarquement de Normandie, les éclats d’obus et les flirts...

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« Monnaie des Sauvages » (La)

De confection soignée, La Monnaie des Sauvages plonge le lecteur dans une véritable enquëte ethnographique, agrémentée d’une soixantaine d’illustrations, d’une vaste bibliographie ainsi que de quelques annexes. Il ne fait aucun doute que cet ouvrage comble une lacune importante dans le domaine des études autochtones canadiennes, tout en offrant une rétrospective détaillée de l’engouement pour le collectionnement au XXe siècle. L’étude de Jonathan C. Lainey saura donc rejoindre un lectorat d’historiens, d’ethnologues, de muséologues et même de numismates et de passionnés de collections.

Catherine Ferland, Histoire sociale

Voyage sur le Haut-Missouri

Exceptionnel récit de Jean-Baptiste Trudeau...

Époque très très dure mais qu’il est bon de se remettre en mémoire. Un lexique en fin de livre vous servira à comprendre et employer certains mots d’époque aussi bien pour les trappeurs que les Indiens. Très utile à lire.

Yves Gustin, Big Bear

Nouvelle-France. English Colonies.

Très bon livre de référence écrit par Robert Lahaise.

À noter, de nombreuses cartes illustrent les propos historiques pour une meilleure compréhension.

À commander!

Yves Gustin, Big Bear

Méditations sur la chasse

Ce livre fortement recommandé donnera aux chasseurs les réponses aux questions que la société a tendance à leur faire poser en les culpabilisant, et aux non-chasseurs un regard nouveau sur une pratique ancestrale au service de l'environnement.

Adrien de ROUBAIX, Federation of Associations for Hunting and Conservation of the European Union

Canadiens en Guyane

Non seulement cette étude approfondie sort-elle de l’anonymat une centaine de ceux qui ont émigré à la Conquête et ouvr-t-elle aux amateurs l’étonnante découverte de liens entre nous et la lointaine Guyane; elle fait de plus comprendre l’importance relative de l’exode par ce que l’auteur appelle «le phénomène de mouvance chronique qui dirigeait en partie le mode de vie des Canadiens».

Léo Beaudoin, Montréal en tête

Rousseau de Pohénégamook (Les)

Très très bon document qui sert à connaître un peu l’existence de ces pauvres gens qui ont colonisé la Nouvelle-France.

Yves Gustin, Big Bear

Maison Kent (La)

La force de ce livre, très documenté, s’ancre dans le parcours minutieusement conté des occupants et le contexte historique fort bien décrit. Une oeuvre de mémoire qui apporte sa pierre à la relation franco-québécoise.

, France-Québec Magazine

Québec... pour la vie

Important, parce que vrai, authentique, chaleureux sans être sirupeux, mais aussi révélateur-au sens photographiuqe du terme- puisqu’au lieu d’empailler sa beauté, Roger Côté y fait ressurgir les minuscules détails et les imperfections qui donnent à cette ville son véritable charme, sa vie.

David Desjardins, Voir

Québec... pour la vie

Les beaux livres sont de plus en plus spectaculaires et de moins en moins dispendieux. Pour une somme d'environ 50 $, vous avez l'embarras du choix. Toutes proportions gardées, un gros roman vaut plus cher qu'un beau livre: 44,95 $ pour le dernier Goncourt comparativement à 54,95 $ pour l'incomparable livre sur Québec publié par Septentrion, Québec pour la vie.


Dans le noir et blanc, il y a une émotion et une intensité que la couleur ne sait pas rendre.

Didier Fessou, Le Soleil

Québec... pour la vie

La ville de Québec pour beaucoup, c'est d'abord des lieux. Des lieux communs comme on en trouve dans toutes les villes touristiques.


Le photographe Roger Côté ne saurait pourtant se contenter de lieux communs.


Dans Québec... pour la vie, un album qu'il publie aux éditions Septentrion, il propose un univers inédit.


Cet univers, c'est Québec la ville, mais une ville revue et corrigée, pourrait-on dire, par le noir et blanc.

Et même par un certain traitement du noir et blanc. Les noirs vibrent de leur velours épais, les blancs brillent de leur blancheur de neige. L'appareil s'arrête toujours un peu plus haut ou un peu plus bas que la ligne d'horizon.

Richard Raymond, Radio-Canada.ca

Médecins et patriotes. 1837-1838

...dans l'introduction très étoffée de leur ouvrage Médecins et patriotes, dictionnaire érudit qui rassemble une centaine de notices biographiques, Marcel J. Rheault et Georges Aubin osent affirmer que, sans la participation de près de cent médecins, «il est fort probable que les soulèvements armés de 1837-1838 n'auraient pas eu lieu... »

Michel Lapierre, Le Devoir

Notaires et patriotes. 1837-1838

Comme le livre de Rheault et Aubin, l'ouvrage Notaires et patriotes, de Julien S. Mackay, renferme un riche dictionnaire biographique qui nous éclaire sur l'époque. À des médecins, comme Jean-Olivier Chénier et Cyrille Côté, s'ajoutent des notaires non moins célèbres, comme Chevalier de Lorimier et Joseph-Narcisse Cardinal.

Michel Lapierre, Le Devoir

Tentation américaine (La)

Dans La Tentation américaine, l'historien Marcel Trudel réunit avec bonheur ceux de ces textes qui ont survécu, plus quelques autres relatifs à la même séquence historique. En tout, 31 documents, reproduits dans leur langue originale (les textes anglais accompagnés de leur traduction française si celle-ci est d'époque), tous précédés d'une brève présentation.

Dans cet ouvrage, Trudel révélait aux lecteurs canadiens que la France, bien qu'officiellement alliée aux États-Unis à partir de 1778, avait secrètement cherché à maintenir le Québec au sein de l'empire britannique, de façon à exercer une pression sur son allié. Dans la conception historique des années 40 au Québec, il s'agissait en quelque sorte d'un second «abandon» du Canada par la France, quinze ans après la cession de la Nouvelle-France. Trudel ne manque pas, dans La Tentation américaine, de nous rappeler cette découverte (trois fois plutôt qu'une). Mais il évite en général les interprétations et se contente la plupart du temps de situer chaque document dans la trame des événements.

Christophe Horguelin, Le Devoir