Nos livres font parler d'eux
Église Saint-Charles de Limoilou (L')
Plus on tourne les pages et plus on soupire en se disant: "ah, si tous les livres au sujet d'une gélise étaient comme ça". Cet ouvrage, c'est une lettre d'amour.
, PrésenceExtramoyen
La force de l'oeuvre, c'est de parvenir à instruire de manière fort dynamique, pour ne pas dire divertissante.
Christian Saint-Pierre, Lettres québécoisesAmour du livre (L’)
« Mon titre préféré du prolifique Denis Vaugeois est L'Amour du livre […] il s'agit à la fois d'un portrait très précis de la situation de l'édition et une percée fascinante dans l'univers du livre dans le contexte québécois. Si l’avant-propos et le premier chapitre s’apparenteraient presque à des mémoires, les pages qui suivent placent le lecteur dans le vif du sujet en anticipant le questionnement de tout auteur d'un premier projet […] Au fil des pages, on apprécie l'érudition de Denis Vaugeois et on sent la maîtrise exceptionnelle qu'il détient dans le domaine éditorial, fort d'un demi-siècle d'expérience dans ce domaine. […] Ouvrage sans équivalent au Québec, L'Amour du livre est assez original dans sa manière directe d'aborder et de présenter l'industrie du livre au Québec et ce, dans un style passionnant. On apprécie les conseils proposés généreusement tout au long du texte. Compte tenu de son sujet, c'est un ouvrage que l'on devrait retrouver dans toutes les bibliothèques. »
Yves Laberge, Zeitschrift für Kanada-StudienInitiatives et adaptations algonquines au XIXe siècle
« Grâce à [sa] clarté et à la grande qualité de ses analyses, Inksetter nous livre une contribution majeure qui deviendra incontournable pour les chercheurs s’intéressant à l’histoire des Algonquins, des peuples autochtones du subarctique ou de l’Abitibi-Témiscamingue. »
Brian Gettler, Revue d’histoire de l’Amérique françaiseImprimés interdits
La recherche de l'auteure est fascinante. Le style littéraire est simple et accessible et le rythme du livre est parfait. Les documents visuels sont abondants et d'une excellente qualité. On ne pouvait s'attendre à autre chose qu'à une telle réussite littéraire de la part de l'auteure.
Johannie Cantin, Cap-aux-DiamantsFilles du Roy pionnières de Montréal (Les)
Ce recueil est particulièrement réussi. Les lecteurs découvriront des femmes remarquables, résilientes, venues dans notre lointaine colonie "pour nous mettre au monde et le pays avec nous".
Marjolaine Saint-Pierre, Montréal en têteInitiatives et adaptations algonquines au XIXe siècle
« Une contribution fort stimulante à l'histoire autochtone au Québec. [...] Grâce au travail de recherche minutieux qu'Inksetter présente dans cette monographie d'un grand intérêt, nous disposons non seulement d'un meilleur portrait des impacts positifs de certains échanges culturels et adaptations chez les Algonquins de l'Abitibi et du Témiscamingue durant le XIXe siècle, mais aussi des transformations engendrées sur la structure même de l'organisation sociale et du pouvoir politique. Nous ne saurions donc trop recommander la lecture de cet ouvrage appelé à devenir une référence en histoire autochtone au Québec. »
Mathieu Arsenault, Recherches amérindiennes au QuébecFormation d'une culture élitaire dans une ville en essor (La)
« Or, plongé dans le livre de St-Pierre, et c’est là l’intérêt de l’histoire sociale, je découvre qu’il y avait des mondes dans le monde de mon passé. […] St-Pierre, rigoureuse, a dépouillé la correspondance de quelques membres de l’élite joliettaine, les journaux locaux de l’époque et les procès-verbaux de l’Institut d’artisans et association de bibliothèque de Joliette, une sorte de pendant local de l’Institut canadien, afin d’étudier la construction de l’identité élitaire, les rapports de genre dans ce groupe et “le rôle de la culture matérielle dans l’affirmation de l’appartenance à ce milieu ”. Pour incarner sa démonstration, elle illustre le parcours de vie d’un couple de l’élite joliettaine entre 1860 et 1910. On peut facilement croire que toutes les bourgeoisies des petites villes québécoises de l’époque ont eu des cheminements semblables. »
Louis Cornellier, Le DevoirParti acadien et la quête d'un paradis perdu (Le)
Accourez pour lire ce merveilleux livre du professeur Poplyansky!
Acadie Nouvelle, Jean-Marie NadeauDu Saint-Laurent au Rhin
Un témoignage exceptionnel
André Duchesne, La Presse+Vimy, un siècle d'histoires
La lecture dépassionnée que propose cette première étude en français du mythe de Vimy s'avère salutaire.
Sébastien Vincent, Le DevoirDu Saint-Laurent au Rhin
« Une trace d'émerveillement, au beau milieu de l'horreur de cette guerre. »
Jean-François Nadeau, Le DevoirDu Saint-Laurent au Rhin
« On en prend la mesure [de la brutalité de la Première Guerre mondiale] dans Du Saint-Laurent au Rhin, de Joseph Alphonse Couture, des carnets judicieusement annotés par l'historien Mourad Djebabla-Brun. [...] Ce témoignage sans fioritures décrit le terrifiant quotidien du front et celui, méconnu, de l'intendance, les jours fugaces passés loin du feu, la démobilisation, puis le rapatriement tant attendu. Fait rare, il n'occulte en rien les horreurs des combats. »
Sébastien Vincent, Le Devoirnoms fictifs
Il y a donc beaucoup de tendresse dans ces brefs portraits en vers d’existences sisyphéennes. Il y a aussi, forcément, beaucoup de colère dans ce procès à charge qu’échafaude Sylvestre contre le discours du si-tu-le-veux-tu-le-peux, et autres ubiquitaires phrases toutes faites, qu’affectionne notre époque. On l’entend, étouffé, dans la voix de son narrateur, ainsi que dans celles des usagers, douloureusement lucides, dont ils tentent d’apaiser la souffrance.
Dominic Tardif, Le Devoirnoms fictifs
En quelques pages, l’écrivain réussit à nous rendre attachante chacune de ces existences malmenées par la dépendance et émouvante la relation entre l’intervenant et ses « patients ». Sylvestre réussit aussi le tour de force de toujours se réinventer dans une formule qui aurait pu rapidement devenir redondante. Dans un monde où l’empathie envers son prochain est tout sauf une évidence, noms fictifs se présente comme une oeuvre socialement nécessaire. Un coup de pied dans la cage du système qui laisse souvent les humains en détresse bien démunis. »
Librairie Au carrefour, Denis Gamachenoms fictifs
Enfin, ces portraits, un peu dans l’esprit de Humans of New York, nous mettent face à nous-mêmes, à nos préjugés, à notre propre vide intérieur et parfois même, face à notre manque d’empathie pour ces personnes que nous n’arrivons pas à comprendre. Olivier Sylvestre a réussi un tour de force avec son premier roman, noms fictifs, qui secoue et qui réveille. Toute une découverte!
La recrue, Joëlle Pelletier-Nolet