Nos livres font parler d'eux
Coeurs tigrés (Les)
J'ai trouvé ce livre pas moins que passionnant.
Sur la quatrième de couverture, on parle d'un roman historique aux allures de thriller médical et je ne trouve pas l'assertion trop forte. Le suspense est précieusement conservé, l'auteur nous tient en haleine.
Venise Landry, Le Passe MotCoeurs tigrés (Les)
En choisissant d'écrire une fiction, Yves Morin s'est donné le pouvoir de modifier un peu les faits de l'époque pour rendre cette histoire encore plus romanesque. L'entreprise ayant fermé ses portes, la Dow ne peut plus tuer les gens de Québec, mais sa légende reste bien vivante et elle est toujours aussi passionnante.
Marie-Hélène Vaugeois, Librairie VaugeoisLettres à sa famille. 1803-1871
Il faut saluer ici le travail de bénédictin, de longue haleine du couple Aubin-Blanchet qui vient de mettre à la disposition de tous les amants de l'histoire d'ici, de notre histoire, la correspondance, qu'ils ont par surcroît annotée, du grand homme qu'a été Louis-Joseph Papineau. C'est à lire et à relire.
Raymond Ouimet, Divines tentations (Radio-Canada)Coeurs tigrés (Les)
Fusion aboutie du roman historique et du thriller médical, Les Coeurs tigrés est teinté de la passion de l'auteur pour sa profession, sa ville, son passé. Monsieur Morin, en grand artiste, parvient à rendre aussi captivante qu'un suspense cette initiation aux enquêtes médicales tout en nous offrant une exquise leçon d'histoire.
Christian Vachon, Librairie PantoutePremiers Juifs d'Amérique, 1760-1860 (Les)
Abondamment documenté et illustré, le livre de Denis Vaugeois représente pour l'historien la matérialisation de plus de cinquante ans de passion pour le sujet. Un ouvrage de référence qui se lit comme un récit d'aventures.
Benjamin Eskinazi, Le LibraireForêt et société en Mauricie [NE]
Entrez dans les camps de bûcherons, photos à l'appui! Forêt et société en Mauricie est un livre passionnant dans lequel les historiens René Hardy et Normand Séguin revisitent la période de 1850 à 1960 à la lumière des connaissances actuelles en écologie. Un voyage dans le passé qui met en évidence la place centrale de l'activité forestière, aussi bien dans l'occupation du territoire que dans la survie des habitants de la région.
Benoît St-Aubin, Le LibraireHistoires de mots solites et insolites
C'est un voyage dans le temps qui nous est proposé à travers un travail de recherche hors pair. Un livre à garder près de soi en tout temps. Passez le mot!
Shannon Desbiens, Le LibrairePour en finir avec le sexe
Il faut connaître la sexualité sous tous les angles pour en rire aussi intelligemment.
Il est à prédire que plusieurs reconnaîtront leurs travers, ou plus facilement encore ceux de la voisine ou du beau-frère! Il y a quelque chose dans la trame de fond de ces blagues qui tient d'une solide et scrupuleuse observation sociale.
Venise Landry, Le Passe MotPour en finir avec le sexe
Bel échappatoire en cette ère de perfection, où l'on demande à tous et chacun de mener une carrière de front, d'être des supers parents, des ami(e)s disponibles, des collègues de travail efficaces et en lus, des bêtes de sexe.
Blogue, Ma mère était hipsterPour en finir avec le sexe
Ce petit bijou de lecture confirme le talent de communicatrice de Caroline Allard. Les illustrations sont superbement rendues par iris qui singe ici des dizaines de dessins également tout en humour. Le livre est bourré de petits clins d'oeil qui font sourire.
Billy Robinson, Côté Blogue.ca (Archambault)Pour en finir avec le sexe
Dans une société où la performance sexuelle est de mise, ce livre arrive comme un vent de fraîcheur avec toutefois quelques propos, disons surprenants, ou choquants pour les yeux chastes. Pudiques, s'abstenir, les autres, donnez-vous en à coeur joie et riez du sexe à gorge déployée, avant, pendant et après vos ébats !
Marie-Josée Turgeon, Sympatico.caPour en finir avec le sexe
J'ai envie de partager avec vous un immense coup de coeur : le livre Pour en finir avec le sexe, de Caroline Allard. Dans ses Chroniques d'une mère indigne, Caroline Allard nous avait fait mourir de rire en nous déculpabilisant face à la maternité parfaite. Son livre sur le sexe nous déculpabilise face à la sexualité parfaite. Oui, on peut parler de sexe en rigolant, sans que ce soit des blagues vulgaires d'humoristes ou des jokes de mononcles saouls.
Sophie Durocher, Journal de MontréalPour en finir avec le sexe
C'est un livre irrévérencieux, cru et drôle, jamais vulgaire. Un livre à offrir à tous vos ami(e)s ; ne leur prêtez pas votre copie... vous aimerez l'avoir à côté de vous sur votre table de chevet. C'est du bonbon !
Sylvia Hamel, Planète QuébecPour en finir avec le sexe
On rigole un bon coup, et surtout, on se décomplexe à la lecture de Pour en finir avec le sexe, de la mère indigne Caroline Allard et de la bédéiste Iris. C'est qu'elles font la vie dure aux tabous, ces deux-là! À grands coups d'explications loufoques et d'exercices rigolos, elles déconstruisent les idées reçues, mettent en boîte nos inhibitions judéochrétiennes et abordent sans gêne toutes les facettes de notre sexualité. Une lecture divertissante, hilarante.
Véronique Alarie, Elle QuébecPour en finir avec le sexe
Le sexe ! S'il y a 1000 façons de le faire, il y en a certainement autant d'en parler! Est-il possible, en se faufilant entre la pruderie et la stupidité, de le faire avec humour ? Est-il possible, en outre, que les mots et les illustrations soient au même diapason ? Nos deux auteures prouvent que oui, et avec aplomb. Elles nous amusent intelligemment, en particulier au détriment des "héros" et des "pédagogues" du sexe...
Paul Jacques, Le ClapPour en finir avec le sexe
Un petit bijou 100% sexe et humour.
Inutile de dire que l'idée d'avoir fait paraître un ouvrage aussi ouvert, libre et comique sur un sujet pouvant encore rendre certaines personnes mal à l'aise à notre époque relève du grand génie.
Blogue, La bible urbaineHiver à Cape Cod (L')
Un très beau récit. Un touchant témoignage qui rappelle le livre L'école des films de David Gilmour (Leméac).
Catherine Lachaussée, Retour sur le monde (SRC Québec)Depuis les cendres
Un livre aussi réconfortant qu'une vieille doudou, ou plus encore, un vieux chandail de laine, tout confortable (à l'image de la couverture)!
Billy Robinson, Côté Blogue.ca (Archambault)Coeurs tigrés (Les)
Véritable "page turner", l'intrigue de ce roman se dévoile lentement tout en nous donnant plein d'informations scientifiques, médicales et historiques ! Un essentiel pur tous les amateurs d'histoire de la Ville de Québec.
Billy Robinson, CulturilsCoeurs tigrés (Les)
Le courrier nous apporte parfois de petits trésors. Comme cet ouvrage du cardiologue Yves Morin. Le ton est dynamique. Vous allez adorer.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comHiver à Cape Cod (L')
Pierre Gobeil nous arrive avec un roman très touchant car il exploite une veine peu abordée, la relation père-fils. L'Hiver à Cape Cod est de la littérature à son mieux qui ne s'embête pas de faire de l'effet. Une référence en soi.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comCanada-Québec
Ce livre est formidable !
Joël Le Bigot, Samedi et rien d'autre (Radio-Canada)Hiver à Cape Cod (L')
Un récit généreux dans son intimité; car même si Pierre Gobeil donne l'impression qu'il se parle à lui-même, c'est pourtant nous qu'il vient chercher, directement sous les strates de notre sensibilité.
L'auteur propose une écriture tout à fait personnelle, intime, qui fait mouche en interrogeant le système scolaire ou en caressant du doigt diverses problématiques sociales contemporaines.
Introspectif, L'Hiver à Cape Cod séduira les lecteurs qui attachent une importance singulière au côté humain du récit.
Sylvain Sarrazin, Entre les lignesInsurrection des patriotes à Beauharnois en 1838 (L')
Enfin un ouvrage solide sur 1838, la page oubliée de l'histoire des Patriotes.
En 14 chapitres, d'une écriture serrée, il est désormais possible de lire l'histoire des Patriotes de ce coin de pays, Patriotes plus souvent qu'autrement en périphérie de l'histoire.
Marcel Labelle a bien digéré sa matière, ce qui la rend accessible, intelligible et intéressante. Plusieurs illustrations pertinentes enrichissent la publication.
Gilles Rhéaume, La Presse QuébécoiseLettres à sa famille. 1803-1871
Avec la parution du dernier tome de la correspondance du chef patriote Louis-Joseph Papineau, on découvre un penseur politique qui n'a pas peur de parler haut et fort.
Michel Lapierre, Le DevoirLettres à sa famille. 1803-1871
J'ai eu l'impression d'entrer dans l'intimité de ce personnage historique important qui pouvait se montrer à la fois intransigeant et sensible.
Michelle Olaïzola, CKRL (Encrage)Dévorante (La)
La Dévorante est un fort joli premier roman sans fausse pudeur et bien maîtrisé, d'une auteure qui a saisi l'essence précieuse de la création littéraire.
Suzanne Desjardins, Nuit blancheLettres à sa famille. 1803-1871
Ses lettres sont d'une humanité aussi séduisante qu'imprévisible.
Un chantier se ferme : grâce à l'indéfectible professionnalisme d'une petite équipe (Lamonde/Aubin/Blanchet), le Québec peut enfin presque tout savoir d'une de ses plus impressionnantes figures.
Laurent Laplante, Nuit blancheÀ la hache et au scalpel
En parcourant ses textes, le lecteur constate que la plupart d,entre eux ont conservé une étonnante actualité. Les problèmes sociaux, politiques et économiques que vivait le Québec au temps de Filion et Laurendeau ne sont pas tous résolus. Loin de là. Journal d'idées et de combat, Le Devoir ne s résume pas à ses éditoriaux. Mais il est certain que ces textes constituent la quintessence de la réflexion qu'il offre à ses lecteurs.
Jean-Rémi Brault, Montréal en têtePremiers Juifs d'Amérique, 1760-1860 (Les)
À consulter pour la richesse du propos et la beauté des illustrations, doublées de renseignements généalogiques.
Jacques Olivier, L'AncêtreAttaque de 1763 (L')
L'auteur a quand même conservé, durant 200 pages, toute sa lucidité et une juste réserve en rapportant les faits sans donner dans le pathos douteux. Ces qualités le placent au premier rang des sources importantes et fiables sur ce sujet.
Claude Le May, L'AncêtreDestins de pêcheurs
Très bien documenté. Très intéressant.
Mélanie Gagné, Mer et monde (SRC Est du Québec)