Nos livres font parler d'eux

Pour en finir avec le sexe

On rigole un bon coup, et surtout, on se décomplexe à la lecture de Pour en finir avec le sexe, de la mère indigne Caroline Allard et de la bédéiste Iris. C'est qu'elles font la vie dure aux tabous, ces deux-là! À grands coups d'explications loufoques et d'exercices rigolos, elles déconstruisent les idées reçues, mettent en boîte nos inhibitions judéochrétiennes et abordent sans gêne toutes les facettes de notre sexualité. Une lecture divertissante, hilarante.

Véronique Alarie, Elle Québec

Pour en finir avec le sexe

Le sexe ! S'il y a 1000 façons de le faire, il y en a certainement autant d'en parler! Est-il possible, en se faufilant entre la pruderie et la stupidité, de le faire avec humour ? Est-il possible, en outre, que les mots et les illustrations soient au même diapason ? Nos deux auteures prouvent que oui, et avec aplomb. Elles nous amusent intelligemment, en particulier au détriment des "héros" et des "pédagogues" du sexe...

Paul Jacques, Le Clap

Pour en finir avec le sexe

Un petit bijou 100% sexe et humour.


Inutile de dire que l'idée d'avoir fait paraître un ouvrage aussi ouvert, libre et comique sur un sujet pouvant encore rendre certaines personnes mal à l'aise à notre époque relève du grand génie.

Blogue, La bible urbaine

Hiver à Cape Cod (L')

Un très beau récit. Un touchant témoignage qui rappelle le livre L'école des films de David Gilmour (Leméac).

Catherine Lachaussée, Retour sur le monde (SRC Québec)

Depuis les cendres

Un livre aussi réconfortant qu'une vieille doudou, ou plus encore, un vieux chandail de laine, tout confortable (à l'image de la couverture)!

Billy Robinson, Côté Blogue.ca (Archambault)

Coeurs tigrés (Les)

Véritable "page turner", l'intrigue de ce roman se dévoile lentement tout en nous donnant plein d'informations scientifiques, médicales et historiques ! Un essentiel pur tous les amateurs d'histoire de la Ville de Québec.

Billy Robinson, Culturils

Coeurs tigrés (Les)

Le courrier nous apporte parfois de petits trésors. Comme cet ouvrage du cardiologue Yves Morin. Le ton est dynamique. Vous allez adorer.

Daniel Rolland, Culture Hebdo.com

Hiver à Cape Cod (L')

Pierre Gobeil nous arrive avec un roman très touchant car il exploite une veine peu abordée, la relation père-fils. L'Hiver à Cape Cod est de la littérature à son mieux qui ne s'embête pas de faire de l'effet. Une référence en soi.

Daniel Rolland, Culture Hebdo.com

Canada-Québec

Ce livre est formidable !

Joël Le Bigot, Samedi et rien d'autre (Radio-Canada)

Hiver à Cape Cod (L')

Un récit généreux dans son intimité; car même si Pierre Gobeil donne l'impression qu'il se parle à lui-même, c'est pourtant nous qu'il vient chercher, directement sous les strates de notre sensibilité.


L'auteur propose une écriture tout à fait personnelle, intime, qui fait mouche en interrogeant le système scolaire ou en caressant du doigt diverses problématiques sociales contemporaines.


Introspectif, L'Hiver à Cape Cod séduira les lecteurs qui attachent une importance singulière au côté humain du récit.

Sylvain Sarrazin, Entre les lignes

Insurrection des patriotes à Beauharnois en 1838 (L')

Enfin un ouvrage solide sur 1838, la page oubliée de l'histoire des Patriotes.


En 14 chapitres, d'une écriture serrée, il est désormais possible de lire l'histoire des Patriotes de ce coin de pays, Patriotes plus souvent qu'autrement en périphérie de l'histoire.


Marcel Labelle a bien digéré sa matière, ce qui la rend accessible, intelligible et intéressante. Plusieurs illustrations pertinentes enrichissent la publication.

Gilles Rhéaume, La Presse Québécoise

Lettres à sa famille. 1803-1871

Avec la parution du dernier tome de la correspondance du chef patriote Louis-Joseph Papineau, on découvre un penseur politique qui n'a pas peur de parler haut et fort.

Michel Lapierre, Le Devoir

Lettres à sa famille. 1803-1871

J'ai eu l'impression d'entrer dans l'intimité de ce personnage historique important qui pouvait se montrer à la fois intransigeant et sensible.

Michelle Olaïzola, CKRL (Encrage)

Dévorante (La)

La Dévorante est un fort joli premier roman sans fausse pudeur et bien maîtrisé, d'une auteure qui a saisi l'essence précieuse de la création littéraire.

Suzanne Desjardins, Nuit blanche

Lettres à sa famille. 1803-1871

Ses lettres sont d'une humanité aussi séduisante qu'imprévisible.


Un chantier se ferme : grâce à l'indéfectible professionnalisme d'une petite équipe (Lamonde/Aubin/Blanchet), le Québec peut enfin presque tout savoir d'une de ses plus impressionnantes figures.

Laurent Laplante, Nuit blanche

À la hache et au scalpel

En parcourant ses textes, le lecteur constate que la plupart d,entre eux ont conservé une étonnante actualité. Les problèmes sociaux, politiques et économiques que vivait le Québec au temps de Filion et Laurendeau ne sont pas tous résolus. Loin de là. Journal d'idées et de combat, Le Devoir ne s résume pas à ses éditoriaux. Mais il est certain que ces textes constituent la quintessence de la réflexion qu'il offre à ses lecteurs.

Jean-Rémi Brault, Montréal en tête

Attaque de 1763 (L')

L'auteur a quand même conservé, durant 200 pages, toute sa lucidité et une juste réserve en rapportant les faits sans donner dans le pathos douteux. Ces qualités le placent au premier rang des sources importantes et fiables sur ce sujet.

Claude Le May, L'Ancêtre

Destins de pêcheurs

Très bien documenté. Très intéressant.

Mélanie Gagné, Mer et monde (SRC Est du Québec)

Fourrures et forêts métissèrent les Montagnais

Nelson-Martin Dawson appuie ses recherches sur "une exploitation maximale" des sources. Celles-ci vont des récits de Champlain aux registres de l'état civil en passant par la cartographie et l'étude des ethnonymes. Il procède également à des enquêtes généalogiques poussées permettant de suivre à la trace la descendance des unions métissées.


Cet essai soulève d'intéressantes questions sur les notions d'identités et de métissage.

Dave Noël, Le Devoir

Virilité en jeu (La)

Avec La Virilité en jeu, Janik Bastien Charlebois espère susciter des débats et des réflexions autour des différentes questions que soulève la construction de la masculinité et de la virilité, dans laquelle l'homophobie jouerait un rôle prépondérant.

Denis-Daniel Boullé, Fugues

Virilité en jeu (La)

La chercheuse conteste les thèses habituellement avancées pour expliquer cette homophobie (les hormones, la construction identitaire masculine, le refoulement) et retient plutôt la thèse d'un hétérosexisme socialement construit.

Louis Cornellier, Le Devoir

Virilité en jeu (La)

La Virilité en jeu veut donner une réponse à ceux qui estiment que l'homophobie des adolescents est naturelle ou propre à leur génération. En interrogeant des jeunes garçons, Janik Bastien Charlebois met à jour leurs représentations de l'homosexualité, de la diversité sexuelle et de la virilité.

Thibaut Temmerman, Être

Réinventer la démocratie

Au-delà du modèle particulier qu'il propose, M. Laliberté nous invite donc à penser la démocratie au 3e millénaire, et c'est sans doute son plus grand mérite.

Marc Ouimet, Journal Ensemble

Pour en finir avec le sexe

Elle nous a fait hurler de rire avec ses confidences de mauvaise mère. L'ex-mère indigne revient en force avec un ouvrage qui détonne - mais pas tant que ça finalement -, portant exclusivement sur le sexe. Car s'il est un sujet où le sérieux est généralement au rendez-vous, c'est bien celui-là. Alors à go, on se dit les vraies affaires, et surtout, on se permet enfin d'en rire !

Silvia Galipeau, La Presse

Depuis les cendres

Emmanuel Bouchard utilise une prose aux accents poétiques quelle que soit l'hésitation des personnages à se souvenir ou à profiter des lieux qu'ils arpentent. Phrases elliptiques ou longues et lentes rendent compte du réel et de l'imaginaire de ses héros. Le choix d'écrire un carnet de voyage est judicieux et convient à ce road story original où les kilomètres parcourus finiront par les mener au bout de leur quête respective.

Jean-François Crépeau, Lettres québécoises

Pour en finir avec le sexe

Un ouvrage qui dédramatise la sexualité en usant de beaucoup d'humour. Réalisé en collaboration avec l'illustratrice Iris, ce livre, à mi-chemin entre le magazine et la BD, est un règlement de compte avec cette chose qui nous met tant de pression dans la société.

Rachelle McDuff, Journal Métro

Depuis les cendres

Le chuchotement et la discrétion caractérisent l'écriture d'Emmanuel Bouchard. Depuis les cendres est un roman tout en douceur, c'est vrai, mais qui brasse des émotions immenses.


Regrets, culpabilité, empathie, amour, ces sentiments n'en sont peut-être que plus grands parce que retenus, et on pense parfois à Jean-François Beauchemin dans cette capacité de décortiquer les détails les plus subtils liés au deuil et au nécessaire processus de détachement.


Depuis les cendres est au bout du compte un hommage magnifique au père solide et aimé, une déclaration d'amour et de respect qui touche par sa sincérité et sa grande humanité.

Josée Lapointe, La Presse

Hiver à Cape Cod (L')

Depuis 1988, Pierre Gobeil poursuit une oeuvre discrète mais qui résiste au temps, et qui a cette qualité rare d'imprégner la mémoire. Il vogue sur les mêmes eaux troubles, posant sur l'existence le même regard buté de celui qui cherche des réponses à des questions qui n'en ont pas.


Cette expérience dont il a fait son livre n'est pas sans rappeler celle de David Gilmour qui, dans l'école des films, racontait son année passée à regarder des DVD avec son ado décrocheur. Mais contrairement à Gilmour, ce sont davantage à ses questions à lui, que nous confronte Gobeil, qu'aux difficultés de son fils.

Marie-Claude Fortin, La Presse