Nos livres font parler d'eux

Sud des États-Unis (Le)

Impossible de comprendre l'élection de Trump sans référence au Tea Party et impossible de résoudre l'énigme du Tea Party sans connaître le Sud des États-Unis. Heureusement, Ginette Chenard vient palier cette lacune avec son monumental Le Sud des États-Unis.

Pierre Dubuc, L'Aut'Journal

Pêche à la morue en Nouvelle-France (La)

Pari risqué de Mario Mimeault, dans sa Pêche à la morue en Nouvelle-France, que de rendre passionnante une aventure qui, à prime abord, n'a ni le pittoresque, ni l'aspect "sexy" des coureurs de bois dans notre imaginaire collectif. Pari tenu, l'historien de la Gaspésie nous convainc de l'importance inattendue de l'industrie de la pêche dans les premiers siècles de la colonie française, tout en nous emballant pour sa riche histoire.

, Librairie Pantoute

Pêche à la morue en Nouvelle-France (La)

La Pêche à la morue en Nouvelle-France, nouveau chez les éditions du Septentrion, de l'historien et chercheur indépendant gaspésien Mario Mimeault. Ouvrage très documenté et d'une écriture très accessible!

, Librairie Tchèque ça

Souffle et la Flamme (Le)

Nous devons à l'amitié liant Monique Brunet-Weinmann à la peintre Louise Gadbois (1896-1985) ce passionnant essai sur la vie intellectuelle et artistique montréalaise et québécoise des années de guerre et d'après-guerre.

Louise-Édith Tétreault, Revue Rencontre

Curieuses histoires de plantes du Canada, tome 3

Ce troisième tome, richement illustré, et conçu dans le même esprit de rigueur et de vulgarisation que les deux précédents, présente vingt-neuf histoires couvrant la période 1760-1867. Un livre captivant et unique en son genre.

Michèle Roy, Le fureteur, Les libraires

Nouveaux regards en histoire seigneuriale au Québec

La dernière page tournée, le lecteur de Nouveaux regards en histoire seigneuriale au Québec peut donc se réjouir d'avoir lu un livre dont le titre n'est pas une vaine promesse : l'interminable survie de cette institution transplantée ad hoc sous Richelieu et dont les derniers vestiges se sont perpétués, incroyable anachronisme, jusqu'à la fin des Trente Glorieuses, brouille nos frontières mentales entre les Temps modernes et l'ère contemporaine...

Sylvain Skora, Revue Histoire & Sociétés rurales

Inconquis

The story is as underappreciated as it is compelling.

Eugene R. H. Tesdahl, William and Mary Quarterly

Coeur des Laurentides (Le)

Il en résulte un fascinant récit historique portant sur l'histoire du Coeur des Laurentides, où le ski y est bien présent.

René-Pierre Beaudry, L’information du nord

Queues

Un roman où la sexualité y est explicite, la sexualité entres hommes y est décrite crûment, sans métaphores, dans une langue politiquement incorrecte. Un roman entre la poésie, l'essai et le théâtre. Avec un certain humour. Loin de nous émoustiller, au contraire, nous sommes projeté dans une certaine révolte. Il se jette corps (pour ne pas dire coeur) et âme dans des relations sans lendemain, mais pourquoi au fond? Peut être pour se sentir vivant... ou moins seul, je me pose encore la question. Pertinent et à l’image de ce qui se fait de mieux dans le genre!

Billy Robinson, Librairie de Verdun

Queues

Voici ici un ouvrage percutant autant en raison de son sujet que de sa forme et écrit dans un style sans pareil aux accents poétiques, aux images fortes et imposantes comme un bulldozer émotif. Ce texte, unique dans le monde littéraire actuel et passé, est un véritable coup de poing, une œuvre crue et réaliste à propos d’un homoérotisme qui ne repose pas sur le côté fleur bleue de l’amour. Totalement assumé, le contenu de ce livre est provocant, certes, mais il l’est surtout parce qu’il se veut une réaction effective à ce conformisme de façade qu’on pose trop souvent sur l’homosexualité pour la rendre acceptable. Assurément, le talent de cet auteur lui assurera vite une place dans le paysage littéraire québécois. De l’art véritable.

Harold Gilbert, Les libraires

Vivre et survivre à Montréal au 21e siècle

Vivre et survivre à Montréal au 21e siècle se présente sous forme d’un carnet. C’est le livre idéal pour comprendre en s’amusant, la vie quotidienne des habitants de cette ville au capital sympathie énorme.Pour le plaisir des yeux, le carnet est illustré par les dessins délicieusement rétro de Pascal Blanchette. La lecture de ce livre ne fera que confirmer que Montréal est la ville du vivre ensemble!

Ariane Herman, Librairie Tulitu à Bruxelles

Histoire du Mile End

Yves Desjardins, journaliste à la retraite et membre de Mémoire du Mile End, publie Histoire du Mile End (Septentrion), un livre fascinant qui raconte les mille vies de ce quartier métissé dont on a souvent prédit la mort. On y trouve un fabuleux hommage à son père, aujourd’hui décédé, qui avait des racines dans le Mile End depuis 1909. C’est aussi un hommage aux générations d’immigrants qui ont fait du quartier un espace créatif et dynamique, emblématique de la diversité montréalaise. Un quartier où, dès la fin du XIXe siècle, la cohabitation de plusieurs cultures, langues, religions et classes sociales était la norme. Une telle diversité dans un espace aussi restreint est unique à Montréal.

La Presse, Rima Elkouri

Queues

Septentrion a publié dans sa collection Hamac un petit livre de 112 pages intitulé simplement Queues. Dans ce dernier, Nicholas Giguère, qui vient de déposer sa thèse en études françaises sur les périodiques gais à l’Université de Sherbrooke, nous livre ce que l’on pourrait qualifier de monologue poétique intimiste trash sur la pulsion ou plus justement sur la fellation. Le narrateur, dans ce livre, nous confie ce qu’est la laideur de se dégoûter, de se dégoûter de se sentir inférieur, de se sentir inférieur à soi-même. L’auteur donne ainsi la parole à une partie de soi-même qu’on ne laisse habituellement jamais s’exprimer, une partie de soi-même que l’humain a généralement plutôt tendance à réprimer, voire à nier, tellement elle lui pue au nez. Grâce à cette démarche, le récit devient d’une honteuse lucidité. Il est obscène sans toutefois être érotisant. Il est dépouillé de tout sens de la moralité pour ne conserver que ce qu’il y a de plus humain.

Jocelyn Gadbois, Alliance Arc-en-ciel

Prague

Dans un style parfois cru, l’auteure se met à nu avec un récit autofictionnel troublant.

Simon Perahia, Bookwitty

Une fille louche

Le roman, touchant et drôle, nous propose de suivre pendant plus d’une décennie les aventures d’une jeune fille fragile qui tente de combattre sa marginalité pour se faire une place dans une société qu’elle trouve trop conformiste. Elle nous raconte ses séances avec son psychiatre, sa passion dévorante pour le sommeil ou ses liens complexes avec sa famille, dans un récit humoristique, parsemé de J’aime/J’aime pas.

Simon Perahia, Bookwitty

Curieuses histoires de plantes du Canada, tome 3

Pour notre plus grand plaisir, voilà qu'ils récidivent. Le auteurs de Curieuses histoires de plantes du Canada nous offrent cette année le troisième tome de leur remarquable essai d'histoire culturelle. La botanique sert encore ici de porte d'entrée pour nous entrainer dans un passionnant voyage historique au coeur de l'ensemble des sciences naturelles et de leur émergence dans la société, de la fin du XVIIIe siècle jusqu'à la Confédération. On doit ce véritable trésor documentaire, somptueusement illustré, à trois scientifiques dont les compétences et l'érudition sont largement reconnues dans les domaines de la botanique et de l'histoire.

Comme dans les volumes précédents, de multiples encarts ou apartés de taille variable viennent ajouter précision d'usages, anecdotes savoureuses, destin particulier ou variation terminologique, si bien que le lecteur le plus curieux ne peut que s'en dire satisfait, ou même repu.

Paul-Louis Martin, Les Cahiers de lecture de L’Action nationale

Émergence de la modernité urbaine au Québec (L')

Un travail de moine, mais qui fut un plaisir pour M. Gaudette qui en a fait son loisir durant plusieurs années. [...] un livre décrivant les conditions de vie matérielles des citadins québécois d'autrefois [...] un regard inédit sur notre passé.

Louise Bédard, Le Canada français

Émergence de la modernité urbaine au Québec (L')

La curiosité ethnographique de l'auteur, fasciné par ce que lui montrent des journalistes qui racontent et qui commentent le développement de la ville en direct, donne des compositions de vues impressionnantes sur les espaces publics d'autrefois.

Dominique Morin, Recherches sociographiques

Queues

C'est par cette phrase coup de poing que s'ouvre le récit poétique de Nicholas Giguère. Une expérience et une lecture, à la fois désarçonnante et fascinante, auquelle nous convie ce dernier par l'intermédiaire d'un narrateur qui jette un regard lucide sur les conventions, les préjugés et les clichés qui l'entourent. L'écriture est imprégnée d'une agressivité à fleur de peau qui, curieusement, indispose moins qu'elle ne fascine puisqu'elle permet d'exposer brutalement et sans fanfreluche une réalité crue et sans appel. Il faut souligner non seulement la qualité et la maîtrise dont Nicholas Giguère fait montre dans son écriture, mais également, et c'est relativement inhabituel, dans la cartographie des mots et des phrases ainsi étalées sur chaque page. Le choix de leur emplacement ou regroupement leur confère souvent une tout autre portée: un mot seul et isolé sur une page distille, en effet, un poids et une signification bien différente et autrement plus percutante. Cette technique permet une lecture double et déchirée entre ce qui se dit formellement et la topographie de ce même discours, permettant ainsi une compréhension plus fine du personnage et de ce qui l'habite. Une oeuvre à la fois bouleversante et percutante!

Benoit Migneault, Revue Fugues

Vertige des insectes (Le)

Il s'agit sans doute de ce que Maude Veilleux a fait de plus "traditionnel". Il ne faut toutefois pas entendre quelque sens péjoratif que ce soit à cet adjectif; par là je pointe plutôt la "propreté" du roman, plus soigné que la poésie de Veilleux, et sa construction linéaire rassurante.

Le roman, infusé des thèmes à venir et de ceux déjà présents dans l'oeuvre, se permet la tragédie comme on le voit rarement.

Pierre-Luc Landry, Nuit blanche

Prague

Prague, paru chez Hamac en 2016, confirme le talent de Maude Veilleux et l'écart qu'elle creuse entre une certaine littérature bien-pensante et sa production violente, intransigeante et hautement littéraire.

Pierre-Luc Landry, Nuit blanche

Je pars en Inde

D'un style intimiste, tout en couleurs et en introspections, ce livre s'avère être un témoignage sincère et lucide sur ces étapes cruciales d'une vie, ces moments privilégiés ou blessures et renaissances se côtoient, irrésistiblement.

Marie Robert, La recrue du mois

Voyage au coeur des collections des Premiers Peuples

C'est dans le but de faire découvrir cette immense collection nationale, et certains de ses trésors encore inconnus ou très peu accessibles, que le musée publie Voyage au coeur des collections des Premiers Peuples. Élaboré sous la direction de la conservatrice Marie-Paule Robitaille, l'ouvrage regroupe dix-sept textes et plus de trois cent photographies sur cinq parties distinctes. Chacune porte un regard particulier sur la collection, et offre une porte d'entrée pour découvrir divers aspects des cultures autochtones.

Le lecteur découvre page après page des objets superbes ainsi que les histoires qui leur sont rattachées. Chaque photographie est en effet accompagnée d'un paragraphe d'explications souvent très éclairant qui vient agrémenter la lecture des textes.

Pricile De Lacroix, Anthropologie et Sociétés - Érudit

Insoumis de l'Empire (Les)

Enfin, cette étude possède le double avantage de revisiter, sous un angle nouveau, la figure relativement familière de Papineau tout en faisant découvrir Theobald Wolfe Tone ainsi que le contexte politique irlandais de son époque.

René Laliberté, Cap-aux-Diamants

Louise Beaudet

L'auteure relate aussi ses déboires financiers et amoureux dans une biographie d'autant plus remarquable que "Little Miss Beaudet" n'a laissé aucun fonds d'archives personnelles.

, L'Actualité

Les Bateaux-phares du Saint-Laurent

Abondamment illustré, ce volume recèle une foule d'informations techniques et de faits inédits.

Un glossaire, un index des navires et de noms propres ainsi qu'une importante bibliographie complètent cette saga qui invite à admirer le fleuve autrement, à l'instar de ceux qui nous ont précédés.

Jeannine Ouellet, Histoire Québec

Aventures de Radisson, t.3 (Les)

Le roman est accompagné de plus de cent photos, vidéos et cartes, de deux témoignages de l'auteur sur le rôle historique de Radisson et Des Groseilliers et d'un amusant clin d'oeil interactif que l'on peut retrouver sur le site Internet du livre. Fidèle à lui-même, l'auteur, spécialiste de la Nouvelle-France, sait redonner vie à ces célèbres personnages grâce à des descriptions et des détails judicieusement choisis et présentés dans une langue savoureuse empreinte d'un vocabulaire riche et varié.

Jeannine Ouellet, Histoire Québec

Gouvernement Lévesque, tome 1 (Le)

Enrichi de renseignements inédits, le livre, publié avec une préface de Gilbert Paquette et une postface de Claude Morin, tous deux ex-ministres péquistes, fait ressortir la personnalité progressiste, déterminée mais parfois fragile, de l’homme politique.

Jean-Charles Panneton montre avec force que, grâce au charisme de Lévesque, à son honnêteté et à son souci des défavorisés, le PQ est devenu le premier parti de masse de l’histoire du Québec.

En révélant à quel point le désarroi assaille souvent René Lévesque, le clairvoyant Jean-Charles Panneton annonce toutefois que l’étapisme ne sera pas la voie de la facilité.

Michel Lapierre, Le Devoir

Janvier tous les jours

Le style fragmenté de ce roman a fait de ma lecture un vrai petit bonbon. Les chapitres très courts et sans titre reflétaient bien l'ambiance du récit: des émotions tellement fortes que l'on en perd nos mots, des crises subites et fugaces qui viennent aussi vite qu'elles nous quittent. On ressent ce qu'Anaïs vit, on ressent sa peine, son désarroi. Elle se cherche, se trouve enfin, puis se perd de plus belle. La plume de l'auteure est aérée mais d'une beauté juste.

Une oeuvre qui se parcourt en un coup de vent, mais qui laisse une forte impression sur son lecteur. Un livre qui vaut grandement le détour.

Megan Deslongchamps, Blogue Page par page

Gouvernement Lévesque, tome 1 (Le)

Il est frappant, à lire le premier des trois tomes de l'ambitieux projet de Jean-Charles Panneton sur le gouvernement Lévesque, de réaliser combien l'histoire se répète et se rejoue avec d'infimes nuances qui n'ont de cesse de nous plonger dans les plus vives comparaisons avec l'actualité politique contemporaine. C'est déjà là un des grands bienfaits de cette lecture.

Il n'en demeure pas moins que pour ceux qui n'ont pas connu ou mal connu cette épopée québécoise qui a mené au première gouvernement Lévesque, voilà un ouvrage qui synthétise fort bien ce qui s'est véritablement passé en coulisses et sur la place publique.

Gilles Toupin, L'Action nationale

Je pars en Inde

De la traversée de l'Himalaya à un mariage indien en passant par un rituel chamanique, la voyageuse pose sur elle-même un regard lucide, avec une pointe d'humour.

Joannie Langlois, Magazine Mon quartier

Passion Haïti

Ce "Saint-Éloi" se lit comme un roman.

C'est un coup de boutoir ou un coup de coeur pour un texte dans l'ensemble, mais qui nous porte à lire autrement ou passionnément ce livre Passion Haïti

Enfin, Passion Haïti n'est pas un livre, mais un hymne à l'amour. Certain lecteurs y percevront une occasion de reformater leur manière d'aimer ce pays qui nous a vu naître: doucement et passionnément.

, Le Nouvelliste

Je pars en Inde

Et finalement, ce livre m'a transporté, m'a rappelé mille et un souvenirs, m'a émue, m'a fait rire.

Je pars en Inde est une lecture douce et chargée d'émotions. Pour tous ceux et celles qui y sont déjà parti-es. Et pour tous ceux et celles qui en rêvent.

, Blogue Page par page

Charte de la langue française (La)

Son ouvrage de littérature juridique est éclairant à plusieurs niveaux. Il fournit une explication rigoureuse de la mécanique interne des droits du français dans le contexte canadien, en plus de nous orienter dans les dédales de ces affaires, dont les plus connues (Blaikie, Miriam, Ford, Nguyen) qui ont infléchi le destin de la Charte.

Pascal Chevrette, Les Cahiers de lecture de L’Action nationale

Une école à la dérive

Bonne nouvelle pour nous, lecteurs, l'auteur a eu la riche idée de nous décrire son expérience sous une plume savoureuse.

Car si la plume est douce et précise, le portrait que brosse l'auteur est sans concession.

Le livre se lit comme un roman, et les qualités d'écriture de l'auteur méritent d'être soulignées. Les passages d'observations "de l'intérieur" sont d'ailleurs parmi les plus savoureux alors que Nicolas Bertrand nous décrit, de manière quasi anthropologique, les dysfonctionnements du système éducatif du Nunavik.

Marjorie Vidal, Les Cahiers de lecture de L’Action nationale

Histoires centricoises

Comme d'habitude, les écrits de l'ancien professeur de Cégep ont été conçus pour divertir, mais non sans poser un regard critique sur la société actuelle, avec une brève fenêtre sur ce à quoi pourrait ressembler le monde de demain.

Yanick Poisson, La Tribune

Construire la nation au petit écran

... La recherche de Côté est fascinante. Elle met en exergue le processus critique ainsi que les tensions inhérentes à la création "de l'histoire", tout en soulignant combien le petit écran agit comme miroir de "nous-mêmes" et comme vecteur d'identité.

Anne Bruneau-Poulin, MENS

bleu des rives (Le)

L'écriture de Lapalme coule doucement, envoûte. Les images qu'elle crée participent d'une poétique de l'organique qui fait appel à l'ensemble des sens.

Si les récits de Marie-Claude Lapalme s'inspirent sans aucun doute des entités de la mythologies de Lovecraft, ils s'inscrivent surtout dans la foulé fantastique du Claude Mathieu de La mort exquise, tant par leur ambiguïté symbolique, leur côté envoûtant et sublime que par l'intimité provoquée par l'instance narrative. Avec une tentative aussi convaincante, il ne reste qu'à espérer que l'auteure récidive bientôt dans cette voie.

Sophie Drouin, Magazine Spirale

Souffle et la Flamme (Le)

À n'en point douter, il s'agit ici d'un livre qui ne laissera personne indifférent, en France comme au Québec, à cause de l'éclairage nouveau qu'il jette sur une période de l'histoire de l'art (1930-1950) qui fut cruciale de part et d'autres de l'Atlantique.

, Communication et sociétés

Je pars en Inde

Livre-témoignage d'une grande lucidité, Je pars en Inde fait le pari de transporter le lecteur dans un univers indien qui n'est pas à un paradoxe près et dans lequel le vrai côtoie le toc, l'espoir et la désolation. Petit à petit, les sillons creusés par Véronique Daudelin s'offrent en miroir au vécu du spectateur, qui délaisse le jugement des premières pages pour se laisser interpeller par les questions profondes qui sommeillent en chacun.

Philippe Vaillancourt, Présence

Histoires centricoises

Jean-Pierre April va écrire les perversités, les incompréhensions, les pertes et les deuils que la société porte. Dans une écriture franche, sans fioritures, de beaux textes très captivants. Une belle lecture d'hiver qui met de la chaleur dans le coeur.

, Blogue Les mille et une pages

Je pars en Inde

En 2010, Véronique Daudelin a fait sa valise avec un seul t-shirt en direction de New Delhi. Son voyage de quatre mois en Inde l'a changée à jamais. Dépaysée et désorientée, celle qui voulait se sauver d'elle-même s'est finalement trouvée. À des kilomètres de sa ville natale et à mille lieues de ce qu'elle avait imaginé.

Isabelle Laramée, Le Canada français

Louise Beaudet

Merci à Marjolaine Saint-Pierre de nous avoir fait connaître cette remarquable oubliée. Agrémenté de quantité de photos d'époque, Louise Beaudet. De Lotbinière à Broadway vient de paraître au Septentrion.

Dominique Alexis, La terre de chez nous

Étagères et barreaux de fer

« Étagères et barreaux de fer. Une histoire du Morrin Centre est un ouvrage bien documenté, dont les textes s’appuient sur des documents d’archives et une bibliographie exhaustive. Les illustrations sont abondantes et supportent bien les propos développés. […]Cet ouvrage constitue une contribution intéressante à l’histoire de Québec, et plus particulièrement à l’histoire carcérale et aux institutions anglophones de la ville. »

Marie-Ève Bonenfant, Revue d’histoire de l’Amérique française