... ; pour terminer, deux gélinottes, un pied d’ours et une queue de castor rôtis. ...
À table en Nouvelle-France, deuxième édition
... après la conférence c’est le festin au cours duquel sont présentées trois grandes chaudières : une première dans laquelle il y a une sagamité légère s’apparentant davantage à une soupe au maïs et à laquelle on a ajouté de l’anguille séchée et d’autres poissons ...
... À la mission huronne de Notre-Dame-de-Foy vers 1671, le père Dablon constate que les festins se composent d’ordinaire de deux ou trois boisseaux de maïs, mêlé à l’occasion de pois et assaisonné de poisson ou de gibier boucané. ...
... Quant au poisson, il devait être entièrement 35 ...
... un peu de poisson frais ou séché selon la saison. ...
... deux et égrenée 2 l d’eau 1,5 kg de têtes et autres résidus de poisson selon la disponibilité du poissonnier 500 g de filet de truite coupé en morceaux, peau enlevée 1,5 l de court-bouillon de poisson 250 ml de maïs en grains frais ou surgelé 250 ml ...
... Quant à la farine résiduelle, elle est bouillie avec du poisson. La sagamité ordinaire se prépare avec de la farine de maïs non vannée qui est bouillie avec un peu de viande ou de poisson et quelquefois on y ajoute de la citrouille selon la saison. ...
... Vers 1780, les bordereaux d’exportations consignent 128 000 peaux de castors, 13 000 peaux d’ours, 8 500 peaux d’orignaux et 175 000 peaux de chevreuils60. Consommet-on toute cette viande ou la conserve-t-on ? ...
... Il vante l’abondance du gibier (cerfs, orignaux, castors) dont la viande est meilleure que celle des cochons qui se nourrissent de toutes sortes de saletés. ...
... Et ce commentaire inclut le castor dont la viande est meilleure rôtie que bouillie, surtout l’hiver. Du loup marin dont on brûle la graisse pour s’éclairer mais qui pue, seuls les intestins sont « délicats à manger ». ...