Histoire et traditions orales des Franco-Acadiens de Terre-Neuve

Histoire et traditions orales des Franco-Acadiens de Terre-Neuve

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... En l’absence de médecins, les guérisseurs, comme le septième fils ou le charmeur de mal de dents, à qui la tradition a toujours prêté une certaine mystique, restaient une issue viable et indispensable pour le traitement des maux, des maladies et des blessures ...

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... I, Paris, Maisonneuve et Larose, 1968, p. 162. 45. Coll. Butler, enreg. 11, MUNFLA 80-144, F3490c/C4828c, Joseph Bozec, L’Anseà-Canards, 23 juin 1980. 46. Coll. ...

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... Pour des discussions sur le diable dans la tradition française et franco-américaine, voir Claude Seignolle, Les évangiles du diable, Paris, Maisonneuve et Larose, 1963; Catherine Jolicœur, Les plus belles légendes acadiennes, Montréal, Stanké, 1981, p ...

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... Voir Peggy Martin, «Drop Dead: Witchcraft Images and Ambiguities in Newfoundland Society», Culture & Tradition, 2(1977), p. 35-50; Claude Seignolle, Les évangiles du diable, Paris, Maisonneuve et Larose, 1967; Anselme Chiasson, Chéticamp: histoire et ...

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... Les lutins1 Des trois êtres surnaturels traités ici, le lutin est de loin le moins répandu chez les Franco-Terreneuviens. ...

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... Ces traits caractéristiques que l’on prête aux lutins à Terre-Neuve ont été également notés en Acadie4, au Québec5, chez les francophones de la Nouvelle-Angleterre6 et ressemblent à ceux qu’on trouve dans les témoignages recueillis en France7. ...

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... Paul Sébillot, Le folklore de France, 5 tomes, Paris, Maisonneuve et Larose, 1905 (1968); Claude Seignolle, Les évangiles du diable, Paris, Maisonneuve et Larose, 1967. 8. Coll. ...

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... Cet aspect théâtral de l’art du conteur est l’un des éléments esthétiques traités en détail par Thomas: Dans le style public, le conteur était sans inhibition dans son usage de gestes et de gesticulations. ...

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... C’est précisément cet aspect public de la tradition que j’ai traité ci-dessus. ...

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... À Paris il y a une barbière, et elle est cent fois plus jolie que le jour. Mais parce qu’on me dit qu’elle est si belle, ma foi, j’irai la voir un jour. 2. Je partirai vers minuit pour arriver au petit point du jour. ...