... En cela, pendant cet intervalle, les marchands semblaient avoir été perçus, par les Algonquins, comme étant tenus aux obligations de réciprocité semblables à celles qui étaient observables à l’intérieur d’une famille étendue. ...
Initiatives et adaptations algonquines au XIXe siècle
... Lettre du R. P. Laverlochère à Mgr. Guibert, Évêque de Viviers », Mélanges religieux, scientifiques, politiques et littéraires, vol. 9, no 75, 1846, p. 578. ...
... Les jours précédents la date convenue pour le départ, les hommes algonquins qui s’apprêtaient à partir avec la brigade, accompagnés de leurs familles, convergeaient vers le poste de traite. Le maître de poste 161. HBCA, B.218/d/1. 162. ...
... Lettre de M. Moreau à M. C. », loc. cit., p. 113 ; J. M. NÉDELEC, « Mission de la Baie d’Hudson. Lettre du R. P. Nédelec au R. P. ...
... D’autres familles se greffaient alors à ces femmes, pour attendre les denrées nouvellement arrivées d’Angleterre169. ...
... LAVERLOCHÈRE, « Extrait d’une lettre du R.P. Laverlochère, Oblat de Marie immaculée, au R. P. Guigues, Visiteur général des Missions du Canada », loc. cit., p. 258 ; MOREAU, « Mission d’Abbitibbi. Lettre de M. Moreau à M. ...
... Au temps de la concurrence au lac Abitibi, l’alcool était porté directement aux familles algonquines par les employés des compagnies concurrentes, en toute saison. ...
... Lettre de M. Moreau à Mgr de Montréal », loc. cit., p. 52. ...
... Lettre du R. P. Laverlochère à Mgr l’Archevêque de Québec », Rapport sur les missions du Diocèse de Québec et autres qui en ont fait ci-devant partie, no 7, 1847, p. 79 ; Idem, « Lettre du Rev. ...
... Par conséquent, la relation qu’entretenait l’employé du poste de traite avec sa belle-famille était cohérente avec l’attitude attendue d’un gendre algonquin. ...