... À l’inverse, les employés des postes de traite pouvaient difficilement fournir un accès au territoire à leur épouse et, le cas échéant, à leur belle-famille. ...
Initiatives et adaptations algonquines au XIXe siècle
... L’avantage qu’offraient ces hommes à leurs épouses et à leur belle-famille n’était donc pas absolu ni unilatéral, puisque ces hommes recevaient aussi des avantages par l’entremise de leur belle-famille algonquine. ...
... Ces hommes pouvaient aussi faire bénéficier leur épouse (et sa famille étendue) de l’avantage d’un salaire stable, ainsi qu’un accès potentiel à des ressources autres, si cela était nécessaire. ...
... Les descendants de McDougall ont réintroduit l’utilisation du patronyme plus tard au xixe siècle, alors que l’emploi des noms de famille s’est généralisé chez les Algonquins, mais au début du xixe siècle, le patronyme McDougall n’était utilisé par personne ...
... En 1843, le missionnaire du Ranquet notait que ces employés métissés dînaient avec le maître de poste, mais que leurs familles occupaient une maison à part240. ...
... algonquines semblent avoir recherché les hommes associés aux postes de traite comme compagnons pour des raisons qui demeurent à être clarifiées, mais qui pourraient être associées à des avantages potentiels que procuraient ces mariages à l’épouse et à sa famille ...
... PARADIS, « Lettre d’un missionnaire », loc. cit., p. 436. ...
... Lettre du Père Laverlochère, o.m.j. à Monseigneur l’Archevêque de Québec », loc. cit., p. 65. ...
... Lettre du Père Laverlochère, o.m.j. à Monseigneur l’Archevêque de Québec », loc. cit., p. 63. 36. GUINARD et BOUCHARD, op. cit., p. 39, LONG, Treaty No. 9. Making the Agreement to Share the Land in far Northern Ontario in 1905, op. cit., p. 269. ...
... Lettre du Père Laverlochère, o.m.j. à Monseigneur l’Archevêque de Québec », loc. cit., p. 63. 42. MacPHERSON, op. cit., p. 108-109. 43. DU RANQUET, OUELLET et DIONNE, op. cit., p. 228. 44. PROULX, Au lac Abbitibi. Visite pastorale de Mgr. J. ...