Page 30

... Ruddel, Histoire de la ville de Québec, 1608-1871, Boréal/Musée canadien des civilisations, 1987, p. 159-163 et p. 232-235. ...

Page 63

... Que les habitants de la ville de Montréal depuis sa fondation jusqu’aujourd’hui, ont été dans la nécessité de faire venir, à la main, du fleuve toute l’eau à l’usage de leur famille, laquelle eau le printemps, l’été et l’automne est extrêmement sale et ...

Page 71

... En effet, les deux groupes de propriétaires qui succèdent l’un après l’autre au groupe de promoteurs d’origine sont en fait composés de membres d’une même famille. ...

Page 17

... L’exiguïté du territoire exploitable créa chez ses habitants l’habitude de transmettre intégralement la propriété foncière au premier enfant de la famille afin d’en éviter le morcellement3. ...

Page 18

... Assimiler un Pierre Hirigoyen à la communauté basque ne fait pas problème, mais quand se présente un travailleur de la mer qui s’appelle Jean Furinten ou Pierre Chapital, porteurs de noms de famille bien gascons, qu’en est-il  ? ...

Page 19

... introduction 19 aussi gascon, sont engagés en 1697 par Denis Riverin et tous se disent « Bayonnois de présents en ce lieu6… » Des marins et des pêcheurs sont aussi associés, comme eux sans doute, par voie de mariage à des intérêts ou des familles de ...

Page 7

... Aujourd’hui que les vieux opposants conservateurs et nationalistes vengeaient des années de défaites en calomniant le nom de famille qu’il portait si fièrement, il était réduit au silence. ...

Page 10

... Rarement séparé de sa famille et de ses amis et partenaires assez longtemps pour prendre la peine de rédiger des lettres personnelles révélatrices, Taschereau semble avoir eu, du temps où il a été premier ministre, une préférence pour les consultations ...

Page 13

... Le plus beau nom de la race française en Canada, c’est le nom de cette famille dans laquelle le talent, le caractère, l’honneur, la force, le travail sont héréditaires : qui, à toutes les générations, depuis cent ans, a fourni des patriotes et des travailleurs ...

Page 13

... Et j’ai constamment reçu le soutien de ma famille, en particulier de mon épouse Miriam. De plus, je désire dédier ce livre à ma mère, Teresa Artigas, qui a encouragé ma vocation pour l’histoire et pour les livres depuis mon enfance. ...

Page 18

... Au Brésil, l’existence de capitanías privées jusqu’aux années 1750 donnait une grande marge de manœuvre à la classe locale et certaines familles, comme les Sá et les Correa à São Paulo, se perpétuaient dans les hauts postes de l’administration régionale ...

Page 21

... Cette mesure heurta de plein fouet le milieu americano puisque la majorité des religieux forcés de s’exiler en Italie ou ailleurs en Europe provenaient de familles locales. Au Mexique, sur 680 membres de l’Ordre, seulement 180 étaient Européens. ...

Page 31

... 1 • s y nop s i s: l e c u lt e du g ig a n t i s m e 31 le premier maire de la mégaville, ne manquait pas de lettres de créance : avocat, MBA de Harvard et ancien ministre. ...

Page 43

... Et cela n’est pas seulement une question de capital : le revenu moyen des familles ontariennes en 2002 était 30 % plus élevé selon Données sociodémographiques en bref. ...

Page 47

... Mais le 18 juin 2003, il avait déclaré à La Presse : « Avec un taux de participation non balisé, on pourrait laisser une minorité de personnes décider de l’avenir de la métropole, c’est totalement inacceptable. » Il a écrit des lettres d’opinion dans ...

Page 30

... FAMILLE ...

Page 43

... FAMILLE ...

Page 111

... FAMILLES ...

Page 24

... En 1762, le vicaire général de Trois-Rivières, dans une lettre au vicaire général de Québec, écrivait : « Supposé que le pays reste à l’Angleterre »15. En attendant, les Anglais organisaient leur nouvelle colonie. ...

Page 25

... En effet, il émit un mandement à l’adresse du clergé, lui ordonnant de chanter un Te Deum et, dorénavant, de prier au prône pour le Roi George III, la reine Charlotte et pour toute la famille royale « suivant la forme ordinaire du rituel, en ajoutant ...

Page 40

... Dans la même lettre il va jusqu’à prétendre que Thomas Cooke ne serait pas l’homme de la situation3. Notes 1. ...

Page 4

... Louis Perrault, Lettres d’un patriote réfugié au Vermont, Montréal, Éditions du Méridien, 1999. ...

Page 14

... C’est un ami de la famille Papineau. Il connaît bien le Bas-Canada pour y avoir vécu onze ans ; il a même fondé un journal à Montréal, le Montreal Daily Advertiser. ...

Page 15

... Il s’apprête à partir pour la France quand il reçoit une lettre lui annonçant que les tories de Montréal ont émis un mandat d’arrêt contre lui et qu’un certain Badgley, parti de Montréal, fait voile vers Londres avec le mandat. ...

Page 11

... Philippe Jules Desrosiers, membre d’une des « familles phares » dans la communauté sourde, a grandi et vécu dans le monde sourd. Ancien élève de l’ISM, il détient un baccalauréat en sciences sociales de l’Université du Québec à Hull. ...

Page 16

... Institut Raymond-Dewar, né du regroupement de l’Institution des sourdes-muettes avec l’Institut des sourds, alors que ce dernier quittait définitivement le domaine de l’éducation spécialisée qui était associé au ministère du Bien-Être social et de la Famille ...

Page 18

... La crise agricole qui a en partie provoqué la rébellion de 1837-1838 n’est pas entièrement résolue, et les familles doivent imaginer des solutions de rechange à la vie rurale traditionnelle. ...

Page 17

... Maurice Arbour, La valeur légale des commissions et lettres patentes émises par les rois de France, entre 1540 et 1627, quant à la découverte et à la prise de possession de la Nouvelle-France, Québec, 1994, p.  25-29. « La notion de territoire sans maître ...

Page 18

... Mais, pour prendre souverainement possession du territoire et l’occuper légalement dans des délais raisonnables pour l’époque, encore fallait-il que les « découvreurs » soient munis des commissions et des lettres patentes nécessaires, émises par les autorités ...

Page 19

... On voit les premières traces des intentions souveraines de la Couronne française sur les terres d’Amérique du Nord, en 1541, dans les lettres patentes remises par le roi François ier à Jacques Cartier et à Jean-François de La Roque, sieur de Roberval. ...