Voyage sur le Haut-Missouri

Voyage sur le Haut-Missouri

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... avec les nations situées à l’occident, qui sont toujours bien fournies en chevaux, ils en tireraient en quantité en échange de petits effets dont elles sont entièrement dénuées et que nous autres, les hommes blancs, trafiquerions avec eux des peaux de castor ...

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... Qu’ils trouveraient ici des couteaux, des fusils et de la poudre en échange de leurs chevaux avec les Ris, et de leurs pelleteries, castors et loutres avec les hommes blancs qui leur recommandaient d’en faire la chasse dans les saisons d’automne, ...

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... Ces derniers les fréquentent et leur font de grandes promesses de vivre en bonne union et en bon accord avec eux pour fumer leur tabac, manger leur blé d’Inde, faire librement la chasse des bœufs sauvages et des castors sur leurs terres dans les saisons ...

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... qu’ayant su qu’il était arrivé des hommes blancs nouveaux aux Ricaras, qui avaient beaucoup de poudre et autres marchandises, ils étaient venus se réunir ici avec le village sioux sédentaire et avec les Ricaras, leurs amis, pour faire la chasse des castors ...

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... Sans quoi ils n’auraient pas un seul coup de poudre ni un couteau de moi ; quant aux viandes sèches qu’ils me proposaient, je donnerais en payement quelques couteaux et alênes, réservant ma poudre pour du castor et des loutres. ...

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... Ils exigent une jointée de poudre par castor et par loutre. Ils ne consentiront jamais autrement à nous trafiquer leurs pelleteries. ...

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... Les trois villages sioux qui vont faire la chasse des castors et du bœuf sauvage sur cette partie occidentale du Missouri font nombre de deux cent soixante loges : il serait à souhaiter qu’ils nous trafiquassent toutes leurs pelleteries. ...

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... Journal de voyage sur le haut Missouri 123 trop tard mon arrivée aux Ricaras et que, pour lors, le castor ayant perdu son poids, ils n’avaient pas voulu en tuer mais que, le printemps prochain, ils m’en apporteraient une grande quantité. ...

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... Le lendemain, les chefs de cette nation ont rassemblé le peu de peaux de castor qu’il pouvait y avoir dans toutes les loges et m’en ont fait un présent qui s’est monté à environ cent livres de castor, accompagné de vingt robes de bœuf garnies en porc-épic ...

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... Par « le centre du castor », il faut sans doute comprendre que les Indiens corbeaux occupent un territoire particulièrement propice à la traite de cette fourrure. 134. ...